Ashram Shambala 02
Datte: 21/11/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byAltayKing, Source: Literotica
... pleine vitesse, le cylindre ressemble à un marteau-piqueur.
Ramona me demande de dire bonjour à celle que j'ai sodomisée hier soir. Je ne sais pas comment m'y prendre, vu sa position et son état. Son ventre est plein du vomi qui gicle de sa bouche violentée et fait des bulles aux commissures de ses lèvres. Ce qui rajoute encore de mauvaises effluves à l'odeur pestilentielle qui règne ici, et ce malgré le ventilateur. La Mexicaine me dit de lui faire la bise, de lui embrasser les joues.
Je reste bête, je ne sais pas comment je pourrais déposer des bises sur les joues de cette tête ainsi malmenée. Ramona me regarde comme si j'étais idiot, et me précise qu'elle ne parle pas des joues de sa figure, mais de celles du bas. Je comprends enfin et m'exécute.
Les fesses sont très fraîches, la peau est douce, et la bise est très agréable. Une fois que c'est fait, Ramona fout un grand coup du revers de sa main sur les fesses de la malheureuse en lui demandant de répondre à mon bonjour. Celle-ci essaye d'articuler quelque chose et émet un grognement inhumain alors que le cylindre ne quitte jamais sa bouche, ne se retirant jamais complètement lors de ses tractions.
C'est fou de voir la longueur de cylindre qui disparaît par à-coups en pénétrant la demi-portion suppliciée. On dirait qu'elle doit l'avoir pas loin de l'entrée de l'estomac, ma parole!
Je me demande comment cette fille n'est pas tombée KO en proie à un tel traitement. J'ai pu constater hier soir qu'elle était ...
... spécialiste en gorge profonde, mais il y a tout de même des limites. Je me mets sur la pointe des pieds pour arriver à voir au mieux son visage et son regard. De ce que je peux voir on dirait qu'elle est dans un état bizarre, une espèce de torpeur consciente, un état second. Elle a réagi quand Ramona lui a demandé de répondre à mon bonjour, ce qui est rassurant, mais elle ne semble qu'à demi présente et ses yeux sont déments.
Je détourne le regard et me retrouve nez-à-nez avec l'autre. Celle-là est suspendue au plafond par les poignets, les jambes dans le vide, couverte d'ecchymoses de la tête aux pieds. Ramona me demande de la fouetter en visant là où elle a déjà des plaies, je m'exécute sans aucun enthousiasme. Je vise les seins qui sont bien abîmés. Les râles épuisés de la fouettée sont déchirants.
Je ne porte que trois coups et repose le fouet que ma bien-aimée m'a tendu. Les yeux de Ramona brillent d'un éclair sadique, elle me dit qu'elle a mis du cœur à l'ouvrage à me venger. J'essaye de me montrer flatté, mais je n'arrive pas à oublier ma gêne. J'aimerais vraiment libérer ces femmes, dire à Ramona qu'elles n'ont commis aucun impair. Je n'ai même jamais bandé depuis que je suis entré dans cette pièce dont je suis heureux de sortir.
Nous pressons le pas en arpentant à nouveau des dédales. Nous sommes remontés jusqu'au premier sous-sol.
Ramona m'emmène dans une autre salle des châtiments où on m'offre de punir la fille du matin. Celle-ci attend dans la salle en ...