1. Confession à la cathédrale Sainte Gudule.


    Datte: 21/11/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: mia-michael, Source: xHamster

    ... train à la lecture de ce message-là. Dans un carré. En face de moi, un couple, un peu âgé. La femme me regardant d’abord distraitement, puis de façon insistante. Moi, je commençais à mouiller, à sentir mon coeur battre dans mon sexe. J’avais envie de me caresser. Non, besoin de frotter quelque chose sur ma fente. La couture du jean ferait bien l’affaire. Je fermai les yeux, feignant de m’assoupir. Je passai en revue dans ma tête les fesses d’Ice, qui portait décidément bien mal son nom tant elle mettait le feu à mes pulsions.
    
    Je voyais défiler son cul, sur la commode, sur un fauteuil, sur une peau de bête devant la cheminée, et ces seules images de cette beauté flamande mettait le feu à mes fesses à moi. Comme pendant un rêve, sans physiquement me toucher, je jouis sur l’ensemble de mon sexe. Une courte mais intense décharge électrisa cette partie de mon corps. Je poussai un bref soupir, rejetai ma tête arrière, gardai les paupières fermées pour prolonger ce sentiment de bien-être absolu.
    
    Je venais de gagner un léger orgasme cérébral, quelques mois de vie supplémentaires. Pas mal, Ice.
    
    A force de penser à cette salope, à son cul, à son liquide que je devinais campagnard, frais, peut-être chypre puisqu’elle passait son temps libre, les fesses à l’air, à se promener dans les champs et dans les bois… A force de l’avoir dans ma tête, dans mes tripes, entre les jambes, c’était normal que je mette sans arrêt le pied à côté des trottoirs et des pavés bruxellois. J’étais ...
    ... littéralement à côté de mes pompes. Enfin, j’aperçus la cathédrale. Imposante, phallique avec ses deux tours… Si j’aimais à sucer des queues, là, le phallus, c’était moi qui le portais.
    
    Elle m’avait donné rendez-vous à 16h, et seulement 20 minutes pour la faire jouir de mes doigts et de ma langue. Je n’aurais droit à aucun objet, avait ordonné son mari. Il avait d’abord été réticent lorsque j’avais proposé une rencontre.
    
    —Habituellement, quand il s’agit d’une femme, il s’en fout complet. Là, comme je lui ai parlé de vous, de votre côté dominateur, il est pas trop d’accord.
    
    —Dites-lui que je repars ensuite à 2 000 kilomètres. Et qu’une fois à Naples, il y a assez peu de risques que l’on se revoit!
    
    —D’accord, je vais lui expliquer. Pour qu’il arrête de vous considérer comme une concurrente, voire comme une menace.
    
    Car Ice était soumise à son mari. Sexuellement et dans la vie de tous les jours. Sexuellement, elle m’avait expliqué que c’était absolument génial pour elle. Elle était sa chose. Il ordonnait, elle exécutait.
    
    Elle m’avait ainsi raconté par écrit qu’elle aimait qu’il la prenne par derrière, en lui attachant les poignets dans le dos.
    
    —Au bout d’une dizaine de minutes, les épaules commencent à chauffer, ça me fait mal. Et c’est bon. Je suis à sa merci, il me donne d’énormes coups de queue dans la chatte, il me tire par les cheveux, me traite de pute, de connasse, d’esclave. Me file des tartes sur mes fesses. Qui sont toutes rouges après. Si vous saviez ...
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