De gentils voisins - Histoires de Sexe

De gentils voisins

... avec un visible bonheur et pour lui prouver sa joie, lui taille une pipe qui l’amène au bord de l’apoplexie. Il fait des efforts désespérés pour ne pas encore éjaculer.

— Oh, que cela semble bon, vous deux ! constate Magali.

Alors, se libérant de Michel, elle prend avec une gorgée de whisky un glaçon dans sa bouche et un autre dans ses doigts et chevauchant presque les deux amants, elle promène l’un sur le dos de Jacques et l’autre sur ses petits tétons qui se dressent, sur son ventre, et descend vers son petit trou et ses testicules.

Surpris, il se contracte, proteste et tente de se dégager.

— Coquine ! Canaille ! Chameau ! Non ! Au secours ! Michel, aide-moi à me débarrasser d’elle !

Michel rit du comique de la situation et pense à part lui, qu’il doit se méfier de l’imagination de Magali : la même mésaventure pourrait lui arriver. Il se garde bien d’intervenir. Et prévenue, Michèle aide son amie à l’emprisonner sous cette caresse glacée. Pour cela elle tient le bon bout !

— Allons, laisse-toi faire, joue le jeu ! demande Magali.
— Mais c’est froid !
— Ainsi tu vois ce que c’est ! Et puis cela anesthésie le petit trou !

Au même moment, il sent avec horreur que l’on tente de le sodomiser.

— Oh non ! proteste-t-il, pas cela !

La bite impitoyablement dure lui force un rien l’ouverture, s’enfonce un tout petit peu.

— Non ! Non ! Michel, arrête ! Ce n’est pas une chose à faire !

Michel, et pour cause, ne répond pas. Il est assis dans un ...

... fauteuil, contemple le trio et s’astique calmement le poireau en riant de la duperie. Magali à ce moment déclenche le vibromasseur qui lui servait à donner des frayeurs à Jacques et celui-ci comprend la supercherie. Après toutes ces émotions, sous les soudaines vibrations de l’engin, le soulagement de n’être pas enculé par Michel et la bouche de Michèle qui le pompe ardemment et ses mains qui lui caressent les couilles, il ne tient plus et part dans un orgasme fulgurant. Il décharge dans la bouche de Michèle et elle le suce jusqu’à la dernière goutte, lui arrache des gémissements, presque des cris de douleur tant la jouissance est intense. Magali lui ballade le boute joie vibrant partout où elle le sait d’une extrême sensibilité : les couilles, le périnée, la raie des fesses. Il n’en peut plus et s’effondre à côté de Michèle. Magali, affectueusement lui retire son bandeau et l’embrasse.

— Tu vois, lui dit-elle, ce n’était pas si terrible et pour te faire passer ta frayeur, notre gentille Michèle t’a fait une pipe digne de « Gorge profonde » ! Elle a tout avalé !
— Un moment, j’ai cru que Michel me sodomisait !
— C’est bien ce que j’avais espéré !
— Décidément, tu es encore plus coquine que ce que je supposais !

Ils rient.

— Mais Michèle, si dévouée, n’a pas eu sa part de plaisir ! Je propose à Michel de la prendre en levrette si elle est d’accord et je me glisserai sous elle pour la caresser de ma langue pendant qu’il l’enfilera.
— Et je pourrai en même temps te brouter ...