1. De gentils voisins


    Datte: 21/11/2019, Catégories: fh, ff, hh, ffh, 2couples, grp, couplus, voisins, forêt, jardin, parking, caférestau, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, échange, Partouze / Groupe Auteur: A.B. Pineau, Source: Revebebe

    ... là.
    — Ah ! Je vois.
    — Et là, les femmes se pelotent et les hommes se branlent.
    — Oh ! Oui !
    
    Michel et Jacques écoutent les commentaires en souriant. L’un et l’autre pensent que les femmes aimeraient sans doute ressentir un petit frisson supplémentaire. Ils échangent un petit signe : ils sont d’accord.
    
    — On sort de la voiture ? interroge Jacques.
    — J’ai peur, répond Magali pour la forme.
    — Moi aussi, ajoute Michèle.
    — Bah ! reprend Jacques, vous ne risquez qu’une main aux fesses ! Si c’est une pine au cul, comme disait le gars tantôt, nous sommes là pour vous protéger. Alors d’accord ?
    — Mais on reste ensemble, reprend Magali.
    — Bien sûr, on ne va pas vous abandonner sur le parking, raille Jacques.
    — Allons, intervient Michel : organisons-nous : allons-y par couple en partant d’ici discrètement à une minute d’intervalle ; donnons-nous rendez-vous près de cet arbre, là, juste en face et nous nous échangerons à cet endroit si vous le voulez. Ainsi nous resterons ensemble pour nous protéger mutuellement. Cela vous convient-il ?
    
    Chacun acquiesce et rajuste ses vêtements.
    
    — Allez-y, dit Jacques à Michèle et Michel, nous vous suivrons dans une minute et je fermerai la voiture.
    — Ne perds pas les clefs : nous serions frais ! plaisante Michel.
    
    Les yeux sont bien habitués à l’obscurité et on se retrouve comme convenu près de l’arbre. Le court trajet s’est déroulé sans encombre. Les couples s’enlacent et observent les silhouettes tout autour. Les voilà au cœur ...
    ... de l’action ! Les femmes tremblent un peu mais les hommes les cajolent et les réconfortent.
    
    — Déjà, cela fait des sensations de se balader sans culotte, murmure Magali, mais en plus, ici et à cette heure, dans le noir avec tous ces obsédés autour de nous… Brrr ! J’en ai des frissons !
    
    Michèle acquiesce.
    
    — Moi aussi : je ne suis pas très rassurée.
    
    Les hommes ont sorti leur bite et pelotent les femmes ; chacun retrousse les jupes de la sienne, lui met les fesses à l’air, et, fléchissant les jambes, l’enfile. Debout, ce n’est pas facile et s’apparente à une séance de gymnastique. Nerveuse, Magali a un fou rire qui ne facilite pas les choses à Jacques. Ce petit manège a attiré l’attention d’autres couples. Un, surtout, est très proche. Posté derrière un buisson, il a tout vu. L’homme et la femme s’approchent du quatuor, en quête d’une bonne fortune. En un instant, l’homme met la main aux fesses de Magali. Elle sursaute, surprise.
    
    — Non, murmure-t-elle.
    
    Rien à faire, il insiste, descend les doigts jusqu’à son sexe. De l’autre main, il tient sa queue bandée, pour la lui mettre par derrière. La femme pendant ce temps a entrepris de branler Jacques pour le distraire. Il n’a pas eu le temps ni le loisir, dans la pénombre, de voir les attouchements ni les intentions de l’homme. Michel, lui, a vu. Il quitte Michèle et intervient juste à temps. Doucement mais fermement, il éconduit l’individu.
    
    — S’il te plaît, lui dit-il, laisse-la-moi.
    
    Et sans attendre la réponse, ...
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