De gentils voisins - Histoires de Sexe

De gentils voisins

... des hommes en les effleurant du bout de ses jolis seins : cela les affole ! Les chattes des femmes et les bites des hommes sont âprement sollicitées : les hommes ont trouvé amusant de la mettre aux femmes dans toutes les positions possibles, de faire juste quelques va-et-vient puis de changer de partenaire. Les femmes sont excitées comme des puces et jouissent à chaque changement. Leurs râles de plaisir excitent de plus en plus les hommes. Mais prudents, ils se réservent d’éjaculer trop vite, pour donner plus longtemps du plaisir aux deux femmes. Pour se donner un peu de repos, ils les caressent maintenant avec leurs langues jusqu’à ce qu’elles n’en puissent plus de jouissance et implorent pitié. Chacun est un peu essoufflé, épuisé et ravi et l’on fait une petite pause autour d’un verre d’eau bienvenu.

— J’ai une nouvelle idée ! lance Magali.

Chacun rit : qu’a-t-elle donc encore imaginé ?

— Si nous allions au parking dont tu nous as parlé, Michel, voir les couples échangistes ? Tant qu’à sombrer dans la débauche, que ce soit jusqu’au bout !
— Tu ne veux tout de même pas participer ? interroge Jacques, tout à coup inquiet.
— Mais non, juste voir, se rincer l’œil, et puis venir terminer la soirée entre nous, ici !
— Soit, si tout le monde est d’accord, mais si vous voulez bien, prenons ma voiture, c’est un mono volume, nous serons plus à l’aise et plus hauts, nous verrons mieux.

Chacun acquiesce et trouve l’idée de Magali tout de même un peu tordue, mais ...

... terriblement excitante tout de même.

— Tout le temps que l’on reste ensemble et à l’intérieur de la voiture, portes fermées, il n’y a pas de danger, confirme Jacques. Mais emportons les coussins, si vous voulez bien, ainsi si nous voulons nous amuser à l’arrière, ce sera plus confortable. Et aussi un rouleau de film de cellophane à usage ménager.
— Pour quoi faire ? demande Michèle.
— Il adhère par simple contact : nous en poserons en le chiffonnant sur les vitres à l’intérieur de la voiture, cela brouillera les regards extérieurs, nous pourrons certes être vus, mais pas reconnus. C’est préférable, on ne sait jamais ce qui peut arriver dans ce genre d’endroit. Et pour voir, il suffira de nous ménager un petit espace clair.
— Excellente idée, renchérit Michèle : surtout avec les téléphones portables qui peuvent prendre des photos. Sage précaution.
— Mais auparavant, ajoute Magali, allons nous rafraîchir : nous serons en meilleure forme.

Tous quatre se dirigent vers la salle de bains et les ablutions sont à nouveau prétexte à pelotages, caresses et folies en tous genres : les chattes et les bites ont été soigneusement savonnées et les petits trous visités, si propres que l’on peut sans crainte y fourrer la langue, ce que ne manque pas de faire Jacques à Magali sur le tapis de la salle d’eau, au grand amusement de Michèle et Michel. Enfin, on part.

Il fait sombre, mais le ciel est étoilé et la lune ronde brille haut dans le ciel. Elle éclaire doucement les fourrés. La ...