De gentils voisins - Histoires de Sexe

De gentils voisins

... elle a envie de ses baisers, envie de sa queue qu’elle sent toute dure se branler dans la raie de ses fesses. Intrigués par le bruit, les deux hommes se sont arrêtés et jouissent du spectacle. Celui qui était à genoux s’est relevé et tous deux maintenant se branlent mutuellement. Ils font mine de se rapprocher mais Michel leur fait signe de rester à distance. D’autres silhouettes se rapprochent également, à peu de pas dans les fourrés. Plusieurs hommes ont le plaisir de profiter du spectacle et se branlent avec énergie. Les queues bandées, secouées, brandies vers les deux couples les troublent. Un homme éjacule dans leur direction à longs jets saccadés, en soupirant bruyamment.

— Partons, c’est plus prudent, murmure alors Jacques.

Tous quatre remettent vite de l’ordre dans leurs vêtements et regagnent le parc et son allée, plus sûre.

— Ouf ! Quelle émotion ! fait Magali. Et j’ai joui comme une sauvage ! Je n’y comprends rien !
— Moi aussi ! rétorque Michèle. Mais vous êtes deux fous ! Quelle frousse vous nous avez faite !
— Je ne pense pas que ce soit très dangereux. Nous risquions simplement de nous faire un peu harceler, mais à quatre, nous étions de taille à nous défendre, intervient Jacques.
— On vous a fait ce coup-là pour la montée d’adrénaline, ajoute Michel en souriant. Et apparemment vous avez aimé, puisque vous avez joui toutes les deux comme deux chattes en chaleur !
— Oh ! Oui, et je n’ai jamais vu autant de membres en érection, reprend Magali. Ce ...

... doit être terrible de se faire enfiler par autant d’hommes !

Les autres rient de cette idée, si saugrenue.

En plaisantant la peur des deux femmes, les amants reprennent la promenade vers l’entrée du parc.

— Mais, intervient Magali, curieuse, ces hommes viennent là juste pour se branler entre eux ?
— Apparemment, oui, fait Michel.
— Ah ! Vous voyez bien que cela se fait, de se branler entre hommes ! insiste Magali. Il n’y a donc jamais de femmes ?
— Oh si ! Il y a des lieux de rendez-vous pour couples libertins ou pour voyeurs, c’est bien connu. Mais c’est plutôt le soir, sur l’autre parking, là-bas. Mais à part cela, ça vous a plu de jouer les exhibitionnistes ?
— C’est très troublant et très excitant. En fait, je n’ai pas eu le temps d’y penser, tant j’ai joui vite ! Mais il faut dire que tu es expert en caresses, mon petit Jacques, dit Michèle en lui prenant un tendre baiser.
— Oh ! Mais Michel aussi est expert en caresses, renchérit Magali en lui prenant aussi un bécot.

La grille du parc est en vue, l’après-midi se termine.

— Voyons, reprend Michel, comment allons-nous terminer la journée ? Quelqu’un a-t-il une idée ?
— Si on pensait à manger ? La pizza de midi était bien bonne, mais je verrais bien un menu un peu plus consistant, intervient Michèle. Qu’en dites-vous ?
— Je vous propose de passer prendre des provisions chez le traiteur chinois et de terminer la soirée chez nous, propose Jacques. Il nous reste quelques bouteilles de Gewurtstraminer : avec ...