De gentils voisins
Datte: 21/11/2019,
Catégories:
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volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
échange,
Partouze / Groupe
Auteur: A.B. Pineau, Source: Revebebe
... langues la cajolent. Michel tourne la page. Deux femmes tête-bêche se caressent. Celle du dessus tend son joli cul vers une bite énorme aux veines turgescentes, noueuse comme un chêne, prête à la pourfendre. Une page, encore. Trois corps enlacés, repus de plaisir, affalés sur le lit. Les silhouettes sont esquissées, mais, bien détaillés, deux sexes sont impudiquement mis en valeur. Celui d’un homme, épuisé, effondré, vaincu par les deux nymphes qui l’encadrent. Presque débandé mais encore long, gros, luisant de sperme, de plaisir assouvi. Le sexe d’une des femmes aussi, béant, encore mouillé, cuisses écartées, s’offre, troublant et dévergondé. L’autre femme est couchée sur le ventre, ses jolies fesses hautes et fermes, rondes comme des melons, donnent au spectateur envie d’y mordre. Michel sent son érection renaître. Les femmes le remarquent et lui sourient, mais il n’a pas encore recouvré assez de vigueur pour les honorer dignement. Il leur sourit aussi et de la main leur envoie un amical baiser.
— Vous voulez voir ? demande-t-il.
— Oh ! Oui ! répondent les trois protagonistes en chœur.
Jacques et les deux femmes l’encadrent bientôt, tous trois admiratifs. Michel a eu la délicatesse de rendre les visages quelque peu anonymes, mais pour eux quatre qui désormais connaissent si bien leurs corps, chacun est ravi de la fidélité des esquisses.
— Quel talent ! fait Jacques : digne de Rops ou de Rassenfosse . Bravo !
Michel remercie, lutine les deux femmes, cueille un ...
... baiser auprès de chacune et les taquine. Mutines, elles se sauvent pour se rafraîchir à nouveau.
— Midi ! fait Michel. Je commence à avoir faim, moi !
— Si on se faisait un petit resto ? propose Michèle.
L’idée est accueillie avec joie et le choix se porte sur un agréable Italien du quartier d’affaires.
— Ce doit être calme, ce samedi midi, affirme Michel. Nous aurons un joli coin tranquille pour nous seuls et je connais Giorgio, le patron aux belles moustaches, grand amateur de femmes : il dirige le service en salle et il nous soignera bien.
— D’accord, ajoute Magali, le temps de faire un saut chez nous, de mettre de nouveaux sous-vêtements.
— Bah ! Pourquoi ? la taquine Michel, tu n’en as pas besoin, reste nue sous ton chemisier et ta jupe, ce sera plus excitant !
— Tu n’y penses pas ! Passe encore pour le soutien, mais me balader sans culotte en ville ! Je n’oserais jamais !
— Pourquoi pas ? renchérit Jacques émoustillé à l’idée de la savoir ainsi dévêtue. Michel a raison, ce sera bien plus piquant de te savoir à poil !
— Alors Michèle aussi ! reprend Magali.
Les deux femmes rient, se font prier. Et de guerre lasse, acquiescent, au grand plaisir des hommes.
— Vraiment, reprend Magali, vous nous aurez tout fait faire ! Mais surtout, n’allez pas profiter de la situation !
— Oh ! Quelle idée, font les hommes hypocritement : on n’y pensait pas !
Sous les chemisiers, les seins en liberté pointent audacieusement et se balancent. Les femmes n’en sont que ...