La chambre d'hôtes - 2ème partie
Datte: 20/11/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Egla-S, Source: Hds
... d’attendre. Son souffle se rapprocha et ses lèvres entourèrent mon clitoris. Je criai sous le plaisir de la délivrance. Ses lèvres étaient si douces au contact de mon intimité. Je sentis soudain sa langue donner de légers coups sur mon petit bouton, des mouvements de bas en haut. L’extase. Il poursuivit son mouvement lentement, tous mes sens étaient en éveil. J’entendais le bruit humide de sa langue contre ma vulve trempée, ses râles rauques contenus par ma peau. L’ours venait quérir son miel. Mon corps était si libre, que je sentais l’air partout sur moi. Je sentais ma robe le long de mon dos, le fauteuil sous mes fesses, mon cœur qui palpitait, mes doigts qui se crispaient. Je ressentais tout mieux que jamais, je voulais que ce moment n’ai jamais de fin.
Raphaël semblait passionné par ma chatte, il la bouffait comme un bonbon succulent. Il stoppa l’étreinte sur mon clitoris, il ne voulait pas me faire jouir tout de suite, non il voulait profiter de ma vulve offerte, gonflée et trempée encore un peu. Il semblait en transe, là entre mes cuisses. Il se mit alors à aspirer mes petites lèvres, puis à les relâcher dans un mouvement lent et maîtrisé, il mordillait parfois pour décupler mes sens. Je gémis à chacun de ses mouvements. Je sentis sa main, parcourir mon ventre, puis appuyer fermement le haut de mon pubis pour libérer le cœur de mon plaisir. Mon clitoris était si gonflée qu’il était à présent entièrement découvert, entièrement à lui. Il donna de petits coups de ...
... langue à nouveau, fouillant plus profondément cette fois, mon ventre se crispa sous le plaisir. Après quelques instants de ce doux massage, il se leva. Il me regarda en se mordant les lèvres.
Je me levai à mon tour, frustrée de ne pas encore avoir joui mais je savais mon amant attentionné au point de ne pas me laisser ainsi bien longtemps. Il avait sûrement un autre plan pour m’assurer la jouissance.
J’ouvris sa chemise et embrassai son torse. Je passai mes mains dans son dos avec douceur. Je défis sa ceinture, baissai son pantalon puis son boxer, un gris aujourd’hui. Il était debout, nu, la bite tendue vers moi. Je regardai ses jambes, elles semblaient invulnérables, elles m’excitaient. J’enlevai à mon tour les derniers vêtements qu’il me restait, mon soutien-gorge et ma robe. Je vins me coller contre lui, mes seins contre ses poils, ventre contre ventre. Je sentis son pénis dur qui atteignait mon nombril. Nos corps s’apprivoisaient, s’enivrant l’un de l’autre. Il ferma les yeux et m’embrassa. Sa bouche avait le goût de mon intimité. J’agrippai ses fesses fermement, pour donner un nouvel élan à cet instant hors du temps, comme suspendu.
Je pris sa main et l’attirai vers le fauteuil, il s’y assit. L’espace d’un instant je regardais son corps qu’il mettait maintenant à ma disposition. Il était beau, comment avais-je pu ne pas m’en rendre compte dès le quai de la gare. Je m’agenouillai sur le sol. Je n’avais pas encore vu son entre-jambes avec autant de détails, la lumière ...