COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (2/8)
Datte: 20/11/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... plume.
Que disait Épiphanie, sur ce que je faisais de mon sexe avec mon amant ?
Comme je suis placée, je vois la porte-fenêtre menant au jardin, la neige tombe, la partie de pelouse que je vois est déjà toute blanche.
Un moment j’ai envie de le sortir de moi de le prendre par la main et d’aller me rouler dans les quelques centimètres de poudreuse qui sont déjà tombés.
- Anne, merci, je vais jouir en toi, tu viens de faire de moi le plus heureux des garçons.
Je suis un homme grâce à toi et je sens que j’ai réalisé mon fantasme.
À ce dernier mot, il décharge inondant mon utérus me faisant jouir, jouir, jouir, je ne suis qu’un orgasme, je suis l’orgasme.
Ma tête est en arrière, ma bouche est ouverte, je halète en essayant d'étouffer mes cris pour ne pas réveiller mon homme.
Je m'agrippe au jeune corps de Noël, c'est si fort.
Je suis dans les vapes quand je sens que ma poitrine reçoive sa visite, sa bouche d’un côté, sa main de l’autre.
Il me caresse, me malaxe mes mamelles.
- Tes nichons sont beaux, on dirait de grosses poires juteuses.
Je vois souvent ceux de maman, ses débardeurs sont généralement trop grands, ta poitrine est incomparable en rapport de la sienne.
Regarde il neige, lève-toi et viens.
C’est avec regret que je quitte sa bite qui a regonflé en moi, quel jeune homme, un véritable étalon.
Il se lève et me prends la main.
Y a-t-il de la transmission de pensée entre Noël et Épiphanie ?
Il ...
... ouvre la porte menant au jardin et m’entraîne nue sur notre pelouse.
- C’est la première fois que je vois de la neige autre part que devant un écran.
Il se jette au sol comme le font les footballeur ayant marqué un but et glisse sur trois à quatre mètres.
Je suis devenue folle, je l’imite glissant moins loin, il se retourne et j’arrive sur sa bite qui n’a pas retrouvé son calme.
Malgré le froid, elle est dure encore.
Je le prends dans mes mains.
Mes seins et ma chatte sont dans la neige, mais je m’en fiche, il entre dans ma bouche et je lui fais une fellation en gorge profonde malgré sa grosseur.
Ma bouche est ouverte au maximum.
Je frissonne, je frémis mais je m’en fiche.
Là, dehors, sur cette couche de neige, je me place en levrette, il se place derrière moi et je sens divinement son chibre revenir en moi.
C'est terrible.
Mes lèvres s'écartent.
Mon vagin s'ouvre et je sens son sexe qui coulisse.
De plaisir ma tête se lève.
Oh, Pierre est derrière la fenêtre de notre chambre n’en perdant pas une miette.
Il nous regarde, il me fixe.
Le froid de la neige, le froid du frisson que cette saillie déclenche en moi et le froid de la peur à la pensée que je viens de perdre mon amant, traversent mon corps.
C’est dommage, j’aimais bien mon Pierre, même si certains jours son âge pose un début de problème.
Mais cette pensée est vite abandonnée car Noël me remplit de nouveau, je lève ma tête, Pierre à disparu…