Show interactif à Amsterdam (II)
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
Auteur: Tanis, Source: Revebebe
... son problème résolu car les assauts de Harold, dans leur puissance, provoquaient une telle friction entre sa queue et le cul de Laure qu’il se demanda s’il pourrait se retenir même en restant immobile.
À chaque poussée de Harold, qui faisait claquer ses testicules contre les siennes, l’impact faisait sauter le cul de Carole l’empalant toujours un peu plus sur son sexe. Harold baisait à un rythme décidé et dévastateur.
Laure était éblouie. Son esprit ne cherchait même pas à considérer le phénomène incroyable de ces deux sexes qui l’empalaient si merveilleusement. Ces deux membres la clouaient, forgeant leur place en elle. Le moindre mouvement augmentait sans cesse son plaisir.
À chaque plongée de Harold, Pierre sentait son énorme épieu se frotter contre sa verge. Il lutta contre le besoin pressant d’éjaculer dans l’anus de sa femme, décidé à se retenir jusqu’à l’orgasme de Harold pour profiter avec lui, de cette fabuleuse communion.
Laure gémissait, il était clair qu’elle se rapprochait d’un nouvel orgasme. Elle aussi luttait de toutes ses forces pour rester en harmonie avec Harold. Enfin, la régularité du va-et-vient, la puissante friction de son sexe contre les parois onduleuses qui le recevaient commença à faire bouillir les sucs de Harold.
Ses cris d’animal indiquèrent qu’il allait bientôt se dissoudre et le rythme ...
... furieux de sa cavalcade s’accrut encore. Laure tressautait sous les coups de pilons toujours plus forts. Le membre s’extrayait presque jusqu’au gland et replongeait jusqu’au fond fouissant son vagin. L’orgasme s’empara de Laure comme de Pierre qui sentait à travers l’anus de sa femme, la folle chevauchée de Harold dans son vagin…
Incroyablement, tous les trois explosèrent au même instant précis : Harold avec un cri sauvage, Laure dans une plainte et Pierre avec un long gémissement.
Pierre hoquetait en se libérant, les bras autour de Harold et de sa femme, il s’accrochait à eux comme à une bouée. Son sperme jailli du méat, éclaboussant le rectum de Laure de puissantes giclées chaudes et désordonnées. Sa semence fusait comme d’un tuyau d’arrosage fou, balayant les parois des intestins…
Laure s’était accrochée aux fesses de Harold en pressant son vagin contre sa bite pour en extraire tout le jus qu’elle sentait gicler en longs jaillissements continus contre les parois de son utérus…
Ils se reposèrent, cœurs battants, immobiles, la verge de Harold toujours enfoncée dans le vagin de Laure, celle de Pierre toujours logée dans son cul… Ils étaient si à l’aise qu’ils s’endormirent bientôt tous les trois dans cette surprenante conjonction.
— Où suis-je ? demanda Laure en s’éveillant.
Les hommes se regardèrent en éclatant de rire !