Un mois pour une vierge
Datte: 19/11/2019,
Catégories:
fh,
hotel,
amour,
aliments,
init,
Auteur: Macapi, Source: Revebebe
... différence digne des plus grands romans d’amour qu’elle a pu lire dans sa courte vie.
De baisers en baisers, de caresses subtiles en caresses plus appuyées, François fait découvrir les joies de la proximité de deux corps à sa partenaire. Il lui caresse les seins, parfois dans des endroits à peine dissimulés au regard des passants. Elle ne voit rien. Il est ses yeux et il veille jalousement à ce que personne d’autre que lui ne profite de ses charmes ravissants.
Puis un jour, il glisse une main dans sa culotte, par-dessous sa jupe. Elle ne dit rien, elle découvre la vie. Un doigt s’insère vite dans un orifice qui semble se lubrifier parfaitement, même si Isabelle n’a pas encore conscience des réactions de son corps. Il essaie de ne pas l’effaroucher, mais l’effort à fournir n’est pas très grand. Il lui suffit de tenter une nouvelle approche pour qu’elle se soumette instantanément à sa volonté. À ce rythme, elle sera bientôt complètement à lui. Seule la bonne approche lui manque encore.
Elle apprécie les gestes de François. Elle ne ressent pas vraiment de plaisir, mais elle se sent appréciée. C’est comme s’il lui manifestait son amour par des gestes plutôt que par des mots. Elle se contente de cela, elle s’imagine déjà heureuse pour des années avec son François chéri à ses côtés.
Une fois, il lui a montré son sexe. Elle n’a pas trop compris pourquoi il faisait cela, mais elle était curieuse donc elle a regardé. La première pensée qui lui est venue c’est que ça ...
... ressemblait à un morceau de viande. Elle y a touché et c’était dur et mou tout à la fois, lisse et mouillé au bout, étrange en fin de compte. Bien sûr, elle savait à quoi servait un sexe d’homme, elle n’était pas si naïve. Simplement, c’était la première fois qu’elle en voyait un de près, pour de vrai.
Quelques jours plus tard, il lui a massé le clitoris quelques minutes. Elle en a tremblé de désir et de plaisir, mais n’a pas compris ce que ce tremblement signifiait. Quelle gourde au fond, mais quelle belle gourde !
La sentant presque prête à faire le grand saut, bouillant d’impatience après un mois de débroussaillage, François a mis son plan au point. Ce serait le lendemain.
Il l’emmène au restaurant ! Isabelle est aux anges. C’est une sortie sérieuse, pas une simple séance de cinéma. Bien sûr, ce n’est qu’un petit restaurant du centre-ville, quelque chose de pas cher, mais quand même elle apprécie toute l’attention qu’il lui porte.
Il entre avec elle dans ce restaurant qui finalement ne paie pas de mine, mais elle ne semble pas s’en rendre compte. Alors il va au comptoir et commande deux spaghettis. Ils prennent place à une petite table. Il n’y a que trois tables dans la salle. Elle le regarde avec des yeux amoureux. Il l’embrasse pour ne pas avoir à se perdre dans ce genre de regard. Finalement, leur commande arrive et ils commencent à manger.
Au bout d’un moment François propose à Isabelle de terminer le repas à l’étage. Elle croit qu’il y a une salle à manger ...