1. Moi, Samantha, psychopathe (1)


    Datte: 19/03/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Sardinalow, Source: Xstory

    Je m’appelle Samantha, j’ai 19 ans, et je vais vous raconter comment je suis morte.
    
    J’ai eu mon bac l’année dernière en série L. Aucune mention, juste passable. Il faut dire que j’ai fait chier les profs pendant toute ma scolarité. Je suis une vraie garce. Et j’ai un corps que les garçons aiment qualifier de "10/10". Joli minois, seins bien proportionnés, fesses bien fermes. Ils sont tous à mes pieds.
    
    Régulièrement, j’accepte de sortir avec un garçon. Je fais semblant de me soumettre à lui au début. Mais dès qu’on en arrive au lit, je les suce froidement et en profite pour les humilier. Sur la taille de leurs queues, sur leur endurance, sur leurs petits cris ridicules de jouissance. Ils se cassent en pleurant et je ne leur reparle plus. C’était ma façon de passer le temps au lycée.
    
    J’habite à Plouc-sur-Mer, petite ville typique de la côte française. En dehors des vacances d’été où la plage est envahie par d’innombrables touristes en tenue légère, la vie y est plutôt ennuyante. À mourir d’ennui même maintenant que le lycée, c’est fini pour moi. Et il faut bien s’occuper.
    
    C’est un vendredi soir de mars que je décide de commencer mes activités nocturnes. Quand ma mère me pense au lit, je sors par la fenêtre et je prends mon vélo.
    
    Elle est nulle ma mère aussi. Elle a 42 ans et un corps de pétasse. Grosses fesses, gros seins, bouche pulpeuse, blonde. Depuis que mon père est mort en conduisant bourré quand j’avais 12 ans, elle n’arrête pas d’inviter toute la gent ...
    ... masculine qu’elle rencontre. C’est pour ça qu’elle m’envoie au lit à 20h. Pour avoir le salon et le champ libre pour ses ébats. Dès que la porte de ma chambre se ferme, je l’entends gémir et ses bruits de gorge profonde sont vraiment insupportables.
    
    Quelquefois, j’ouvre discrètement ma porte et j’observe la scène digne d’un porno foireux se dérouler sous mes yeux. Elle ramène toujours au moins trois mâles. Bien membrés. Tandis qu’elle chevauche le premier, le deuxième se place derrière elle pour l’enculer à sec et le troisième utilise sa bouche comme trou de saillie. Au bout d’une bonne demi-heure, ils la couvrent de sperme et se cassent sans dire merci. Ma mère s’endort ensuite, épuisée, sur le canapé.
    
    Ça me dégoûte. Voir ma mère tomber si bas dans la débauche. Elle a perdu tout sens de dignité. Elle comble le vide en elle que représente la mort de papa par des bites surdimensionnées aux propriétaires aux cerveaux sous-développés.
    
    En tout cas, une fois démontée par ces mâles alphas, elle ne risque pas de m’entendre sortir par la fenêtre. Je m’habille très légèrement, avec une robe à décolleté profond, et j’enfourche mon vélo. Oui, j’arrive à faire du vélo en robe. C’est un talent inné.
    
    Je me rends alors au bar de la ville. Là où tous les connards de la ville se réunissent le soir pour boire abondamment de la vieille bière un peu dégueu. Je m’assois alors sur un tabouret au comptoir et je commande la seule boisson buvable : un diabolo menthe. Je sirote ensuite ...
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