1. Hélène 1.3 - Week-end chez Pierre (fin)


    Datte: 19/11/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, magasin, cinéma, amour, fsoumise, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral fdanus, fsodo, jouet, Auteur: Bruno, le conteur, Source: Revebebe

    ... première bille. Il m’arrache un « aaaah » de plaisir, il attend quelques secondes, puis il sort la deuxième, je me contracte autour de sa bite dans un spasme de jouissance je gémis sans arrêt.
    
    Une par une, il retire les boules sans cesser de me pistonner. À chaque expulsion, je crie, et mon plaisir monte d’un cran. Encore une et j’explose. Je jouis convulsivement en même temps que Pierre. Son orgasme est tellement intense qu’il s’abat tremblant à côté de moi.
    
    Nous reprenons notre souffle ensemble.
    
    Je suis repue, rassasiée, je me roule contre mon chéri, et comme les fois précédentes je m’écroule comme une masse.
    
    _______________________
    
    Au matin, Pierre dort encore quand je me réveille. Il est sur le dos, paisible. Je fais glisser la couette, et j’observe attendrie son membre au repos. Je dépose un baiser sur son vit, ensuite un deuxième, puis n’y tenant plus j’embouche sa demi-molle qui aussitôt reprend de la vigueur.
    
    Je commence à le sucer quand j’entends :
    
    — Chérie, je ne préfère pas, j’aime mieux quand je suis propre. On se douche, ajoute-t-il.
    
    Sous la douche, pendant que nous nous adonnons au plaisir du savonnage mutuel, je lui demande :
    
    — Qu’as-tu prévu pour ce lundi ?
    — Je voudrais aller au centre commercial pour acheter des draps neufs. Je veux me débarrasser de ceux de ma femme.
    — Tu veux bien me laisser faire ? C’est ma partie après tout. Quel genre veux-tu ?
    — Fleuri, avec une pointe de rouge, me répond-il.
    — Mais il faut qu’ils te ...
    ... plaisent, ajoute-t-il.
    — Et sinon qu’est-ce qu’on fait ? reprends-je.
    — Jardinage, ça te dit ? On va à la jardinerie. On achète pour faire le potager.
    — Super, mais Chéri, et l’amour physique dans tout ça ?
    — Quand tu veux, où tu veux, comme tu veux. Allez, habille-toi, on prendra le petit-déj au bistrot sur le chemin.
    
    Je m’habille rapidement, une robe jaune et rouge vaporeuse, à bretelles en tulle jusqu’aux chevilles, serrée sous les seins. Un décolleté qui me découvre une bonne moitié de la poitrine, et plus si je me penche. Un gilet assorti complète le tout. Je garde mes jambes nues, sans bas, ni collant.
    
    Pierre m’attend, assis dans un fauteuil, je ne vois pas ce qu’il tient dans ses mains. Je me penche sur lui pour lui prendre les lèvres. Il en profite pour plonger son regard sur mes seins exposés. Il se lève.
    
    — Hélène, pose tes deux mains sur le dossier du fauteuil et penche-toi en avant.
    
    Puis il trousse ma robe jusqu’aux épaules. Il fait glisser ma culotte jusqu’aux chevilles. Je l’envoie valser d’un coup de pied.
    
    — Ouvre-toi.
    
    J’écarte mes fesses à deux mains, heureuse de mon impudeur, puis Pierre me masse l’anus avec du gel, je soupire, il introduit son majeur et je roucoule. Il appuie un objet ovoïde contre mon trou mignon. Il pousse à peine, et mon muscle anal cède. L’objet est gobé par mon rectum et la partie la plus épaisse se loge dans mon ampoule anale. Une tige fine le relie à une rosace qui l’empêche d’être avalé. Je me sens envahie.
    
    Je me ...
«12...456...»