Le Pacte - Histoires de Sexe

Le Pacte

... avait de plus pratique pour un déménagement mais ça m'excitait ! Eric portait un bermuda en toile et une chemise en jean.

Bien sûr, en tant qu'étudiante au budget serré, la quantité d'affaire que je possédais ici était limitée. Je n'avais rien préparé à l'avance pour ne pas donner d'indices à Alex, et la première chose à faire pour moi consista donc, sitôt dans le studio, à vider les placards de mes effets et de les entasser au milieu de la pièce. Mes trois comparses se contentaient de s'en saisir pour les emballer dans les cartons, avec plus ou moins de sérieux. Évidemment, Eric se plaisait à me hisser dès que j'avais besoin d'accéder à une hauteur au sommet d'un meuble. Il me saisissait par la taille et m'élevait, et s'égarait sur mes seins dès que j'avais remis pied à terre avec les mains chargées de livres de cours ou de linge. Il m'embrassait à la moindre occasion, et je lui rendait ses baisers avec ardeur. Ce petit jeu ne tarda évidemment pas à nous émoustiller de plus en plus l'un l'autre, et du coin de l’œil je voyait que Guillaume et Isa se tournaient également autour. Je commençais franchement à mouiller, et mon manque de sous-vêtement m'épargnait certes le coup de la culotte détrempée, mais n'empêchait nullement à mes sécrétions intimes d'inonder l'intérieur de mes cuisses et de se répandre en coulées discrètes le long de mes jambes. Mes mamelons pointaient de façon orgueilleuse à travers mon débardeur.

Je mordais ma lèvre inférieure, bouillonnant en ...

... moi-même. Je mourrais d'envie de sauter sur Eric, de lui arracher sa chemise, de me jeter sur son torse et ses abdos avant de m'attaquer au reste de son anatomie que je distinguais s'ériger sous son bermuda. Il nous restait mon bureau à démonter. Un meuble de conception suédoise qui ne supporterait sans doute pas un autre déménagement, mais qui avait le mérite d'être économique et de se monter facilement. Un fois le meuble vidé et retourné par mes amis, je me baissais pour dévisser avec la fameuse clef les quelques vis qui assuraient l'intégrité de l'ensemble. Bien entendu, dans ce genre de position, ma courte jupe dévoilait ma croupe plus qu'il n'était raisonnable pour une jeune fille prude et bien élevée. Heureusement, je n'étais pas de cet acabit. Repérant l’œil lubrique d'Eric, j'agitais langoureusement mon popotin tout en continuant à dévisser. La réaction ne se fit pas attendre. Je sentis une main chaude et ferme se plaquer sur ma fesse, la caresser, la massant. Je profitais. Quand j'eus retiré la dernière vis, je sentis des doigts introspectifs venir s'égarer vers la source de mon humidité intime. Ils s'introduisirent en glissant, presque happés, alors que j'exprimais un hoquet certes de surprise, mais surtout de satisfaction.

Guillaume et Isa, en train de s'embrasser dans un coin de la pièce, se tournèrent vers moi et m'adressèrent un sourire complice. Eric, derrière moi, fit passer son autre bras sous mon débardeur et me redressa en me saisissant un sein. J'étais à bout, ...