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Les déménageurs
Datte: 18/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Hardcore, Sexe Interracial Auteur: michelemimi, Source: xHamster
... moi-même, je me met à quatre pattes et me cambre, prête à recevoir leur hommage. Le chef se positionne. Au contact de son engin dans le vestibule de mon vagin je pousse un feulement de plaisir. En me tenant les hanches, il pousse et s'enfonce en entier dans mon con juteux. Alain connaissant mes goût lui dit : « Mets-lui un doigt dans le cul pendant que tu l'enfile ! Elle aime ça. » Le type s’exécute et m'enfonce son majeur dans l’anus. J'ouvre grand la bouche et un autre en profite pour l'occuper avec son dard. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je me tortille comme une anguille en gémissant. Alain reprend : « Aller Messieurs ! Profitez de ma belle pute ! Elle n'attend que vos bites ! C'est une vrai nympho ! » Le bites qui se succèdent m’amène au bord de l'orgasme. au bord de l’orgasme. On me pince les tétines, on masse mon clito, les queue entrent et sorte à la chaîne. Je hurle de plaisir. Un black pousse son chef pour prendre sa place et il prend la place dans mon cul encore trop sensible de la veille. Je grimace mais comme une tornade je me fait emporter par ce délire de tournante improvisée. Alain lance à la volé : « On dirait vraiment une jument, il lui manque plus qu'un plug en forme de queue pour cette salope ressemble à un a****l. Ho j'ai une idée ! J'ai des poireaux dans la cuisine ! Ca va lui faire une belle queue ! » A son retour, c'est mon mari qui à le privilège « Voilà ta queue ma belle jument ! » ...
... Me dit-il. Je sursaute de surprise et lui lance : « Aïe ! Putain t’es con, ça fait mal ! » Le black éclate de rire, suivi des autres. Alain me demande : « Marche à quatre pattes dans le salon qu'on admire ta queue ! » L'humiliation est à son comble. Mais l'excitation aussi. Alors je me mets à arpenter la pièce à quatre pattes en tortillant du cul et en hennissant ou en aboyant comme une femelle. Le black veut s'amuser. Il me saisit par les hanches et me plante son pieu dans la chatte. Il lui claque les fesses d’une main et de l’autre tient ma queue improvisée. A quatre pattes dans le salon, je me laisse saillir en hennissant et en aboyant. Quelques encouragements commencent à fuser : « Baise la bien cette pute ! Ramone-lui la chatte ! Claque-lui les fesses ! Enfonce-lui jusqu’au fond ! Fais-la hurler ! » Le black ainsi encouragé, commence à accélérer la cadence. Il m'envoie de grands coups de bite en ahanant. Un autre saisit le poireau et l’enfonce un peu plus loin dans mon cul. Là c'est trop et je me met à hurler. Mes seins vacillent sous les coups du black qui se met à grogner comme une bête en me lâchant tout son produit de mâle dans ma petite chatte. Quand il se retire, ma chatte reste grande ouverte et un liquide blanchâtre s'en échappe. Une fois qu’ils sont partis, Alain me fourre en levrette en me disant : « Je ne peux pas te laisser toute seule un instant ! » Sur ces mots il me jouit sur le dos satisfait de moi.