COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Un couple dans le parc (1/1)
Datte: 18/11/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... après-midi pour prendre le thé, j’étais loin de penser que je finirais les cuisses écartées pendant qu’elle me brouterait la minette.
Avec elle j’ai appris ce qu’une femme peut faire à une autre femme, autant Joseph aimait jouer au mâle viril, autant Geneviève était douce et savait me caresser. »
Je referme mon livre, la vie de ce couple me procure bien plus de plaisir que l’histoire un peu étrange qui y est racontée.
Un moment, il pense en même temps et je suis incapable de suivre ce qu’il leur est arrivé, je sens que, ce qui revient au cerveau de Joseph est plus croustillant que les galipettes entre les deux femmes.
« Si Joséphine avait su que j’ai sucé mon patron pour devenir responsable de la chambre forte, elle aurait divorcé, tout a commencé au cocktail où lui et sa femme Geneviève nous avait invités.
Elle discutait avec Geneviève, un verre en main et semblait bien s’entendre, quand Robert m’a proposé d’aller chercher un cigare dans son bureau, m’isolant des autres invités, j’étais loin de penser qu’il avait des penchants pour les hommes.
Moi non plus d’ailleurs, j’avais failli avoir une expérience homosexuelle en fac et je m’en étais tiré grâce à un camarade qui était entré dans la chambre où comme Robert, il avait réussi à m’attirer.
À ce cocktail, dès qu’il a refermé la porte, il s’est directement collé à moi et sa bouche est venue sur la mienne, au début sa langue tournoyant sur la mienne m’a donné une étrange impression, mais j’y aie pris goût ...
... et quand il a ouvert sa braguette, c’est tout naturellement que je l’ai pris en main.
Elle était plus grosse que la mienne et quand j’ai compris à la façon dont il m’appuyait sur l’épaule qu’il voulait que je le suce, sans hésiter je l’ai fait.
Étrange impression, j’aurais dû me sentir fautif envers Joséphine, mais comme je suçais un garçon, c’était bien différent que si j’avais eu un rapport sexuel avec sa femme par exemple. »
Il est homo ou du moins bisexuel, un mot de Joséphine attire mon attention et je m’isole avec elle.
« Libertin, j’ai eu peur d’être reconnu. »
Je recolle les morceaux du puzzle, Geneviève l’a emmené dans un club échangiste.
« Dès que nous sommes arrivées, elle a voulu danser et m’a effeuillée comme une marguerite, je me revois dans une des glaces me trémoussant son corps collé contre le mien nue.
J’ai eu comme un flash et j’ai adoré d’être nue devant des dizaines de personnes, j’étais devenue son jouet et si je m’écoutais à partir de ce jour, j’aime m’exhiber, si j’écartais mes cuisses, ce beau gosse face à nous qui lit un livre en regardant ailleurs de temps en temps remarquerait-il que depuis cette découverte, je me promène la chatte à l’air ?
Non, bien sûr, j’ai 68 ans, il me prendrait pour une salope bien que chaque fois que j’ai pu me faire prendre par de beaux mâles dans ce club, j’aie toujours été partante Geneviève aussi d’ailleurs.
Je suis folle, si quelqu’un me passait une main entre mon entre-jambe, il trouverait ...