La Gobeuse 02
Datte: 17/11/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... bas, je vis que des douzaines de pantalons se débraguetter. Non, ils ne pouvaient pas penser que j'allais sucer autant de bites, c'était impossible. Des larmes me coulaient des yeux.
Ils ne le firent pas. Le plan était pour eux de se masturber sur moi. Tout ce que j'avais à faire était de rester agenouillé, et avec mes mains bloquées derrière la barre, je n'avais de toute façon pas d'autre choix que de subir. Je baissais les yeux sur mes genoux et restais immobile. En quelques secondes, les premières giclées de sperme atterrirent sur ma joue : c'était chaud, gras et dégradant. Le caméraman était agenouillé pour pouvoir filmer mon visage et enregistrer le sperme me coulant le long des joues se mêlant à mes larmes. Je n'eus pas longtemps à attendre pour que le second trader éjacule sur mon front. Je sentis sa semence me couler le long du nez. Je commençais à sangloter, mais faisait tout de même attention à ne pas ouvrir la bouche. Je ne voulais pas qu'ils visent dedans.
Il y eut bientôt deux ou trois hommes en train de me juter dessus à tout moment. On avait demandé à une des jeunes hôtesses de rester près de moi et d'énumérer le compte total, ce qui rendait le tout encore pire que je ne le pensais possible. Chaque fois qu'un multiple de dix était atteint, il y avait des acclamations. Je pouvais sentir tout le sperme me couler sur le visage jusque sur mon coûteux costume de femme d'affaires. Il allait être foutu, je ne pourrais jamais le faire nettoyer (en fait ...
... Reika me le fit porter au pressing dans la semaine, et ce fut atrocement humiliant.) Je pouvais sentir le foutre imprégner mes cheveux... comment est-ce que je pourrais jamais me débarrasser de cette sensation? Les yeux clos j'essayais de penser à autre chose, n'importe quoi d'autre... mais quand l'on sent le sperme de quelqu'un vous frapper les paupières, c'est dur de ne pas penser à quel point on se trouve dégradée.
Au fur et à mesure, tout mon visage, jusqu'à la plus petite parcelle, se retrouva couvert de foutre. C'était comme si je portais un masque. De gros morceaux de sperme coagulés tombaient sur mes vêtements, je pouvais même en sentir dans mon soutien-gorge en dentelle. « Regarde-nous Suzichan, » j'essayais, mais même en ouvrant les paupières un petit peu je ne pouvais rien voir à travers le sperme. Je clignais des yeux plusieurs fois jusqu'à ce que je puisse voir M. Takashita devant moi, sa queue au niveau de mes yeux, en train de se faire fougueusement manipuler par Reika. Cela alla droit sur moi, le premier jet me touchant entre les deux yeux. Je gémissais et baissais à nouveau la tête. Je me sentais plus merdique qu'un ver de terre.
« Soixante-douze! » cria l'hôtesse alors que le dernier homme déversait son foutre sur moi. Assez ennuyée, je réalisais que certains hommes devaient avoir joui deux fois sur moi. J'étais depuis longtemps rentré dans ma coquille, tâchant de prétendre que tout cela n'était pas en train de m'arriver, même si c'était clairement le ...