1. Quatre, cinq, six...


    Datte: 16/11/2019, Catégories: ff, grp, couplus, cocus, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... toute ses remarques sur la beauté et la sensualité de ma femme.
    
    Les trois hommes semblent lui laisser la place. Elle se pose en face de Séverine, la fixe dans les yeux et se penche sur elle pour une bise. Non, pas une bise : un baiser. Un baiser sur les lèvres. Non, plus qu’un baiser, sinon comment comprendre cette main qui se plaque sur la nuque de Séverine, lui laissant peu d’espace, et cette autre qui se plaque sur ses reins ? Ainsi ma femme est littéralement prisonnière de Liona, obligée de subir ce baiser, un baiser qui ne peut être qu’humide et envahissant si j’en devine la sensualité. Mais pas que… Si ma femme semble surprise, il ne lui faut que quelques secondes pour qu’elle se coule dans le moule proposé. Je vois mon épouse répondre aux avances de ma maîtresse. Les deux corps se soudent, et maintenant Séverine aussi enveloppe Liona.
    
    Lors de ces dernières semaines, nous avons beaucoup parlé. Le départ d’Arnaud a d’une certaine façon libéré notre parole. Que c’est bon de pouvoir tout partager avec l’être que l’on aime ! Aux questions que je n’avais jamais osé poser malgré toutes ces années, questions concernant sa sexualité avant de me connaître, Séverine avait été d’une totale franchise, m’avouant ses découvertes avec les hommes, mais aussi une expérience avec une amie lesbienne.
    
    — On dirait que Liona a trouvé une partenaire… me susurre celle qui me tient compagnie.
    
    C’est vrai que ma femme participe, et si Liona se charge de détacher le soutien-gorge pour ...
    ... en libérer les seins, jouant avec eux et leur parure, Séverine se charge de la robe de Liona, nous faisant découvrir que la coquine ne portait rien dessous.
    
    Les voir ainsi est des plus excitants. Elles s’embrassent à pleine bouche, se caressent, se frottent. Aucune retenue ! Mon épouse se laisse aller. Sa seule pudeur est de fermer les yeux pour se réfugier dans une obscurité qui la protège. Mais cela dure peu, car tout ce qui est autour d’elle attire son regard. Les hommes qui se déshabillent avec tout ce que cela augure. Moi qui regarde sagement depuis ce canapé.
    
    Les hommes sont nus, les verges encore au repos. Tous trois sont assis maintenant côte à côte sur le bord du lit et semblent attendre. C’est Liona qui leur amène ma femme. Elle n’a pas besoin de parler, l’invite est évidente. Avec Arnaud elle nous a déjà fait cela, suçant l’un tout en caressant l’autre.
    
    Elle est à genoux, et déjà Éric lui tend son sexe qui commence à se tendre. Liona parle à l’oreille de ma femme, et si je n’entends pas je devine ce qu’elle lui dit. Le regard qu’elle jette vers le sexe de Paul qui se déploie lentement est trouble. Troublée et inquiète alors qu’elle me regarde comme pour demander du secours.« Eh oui, ma chérie, il semble grand et gros. » C’est une évidence, surtout que maintenant deux autres bites tendues peuvent servir de référence. Moi, je ne pourrais pas en dire autant.
    
    — Il est temps de nous montrer… me susurre ma voisine qui enlève sa robe.
    
    Elle est en culotte, ...
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