1. Quatre, cinq, six...


    Datte: 16/11/2019, Catégories: ff, grp, couplus, cocus, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... dire que Paul et moi, accompagnés par ma voisine Nadia, formons un trio qui n’a rien de bien classique.
    
    Un mari, le sexe prisonnier d’une cage qui l’empêche de bander alors qu’en temps normal, après un tel spectacle j’afficherais une érection grandiose, de celles qui donnent une bite bien dure. Mais à côté de ce mari, un complice montre par contre une verge verticale, droite, imposante, qui ne peut qu’attirer le regard. Et Nadia respirant la féminité à côté de ces deux mâles en rut.
    
    Liona parle à l’oreille de ma femme. Encore une fois, l’allusion est évidente, car Paul devient le centre du monde. Nous voyons Séverine se lever de sa couche pour faire les quelques pas qui la rapprochent de notre canapé. Elle hésite, mais Paul lui propose :
    
    — Viens sur moi, tu pourras mieux contrôler.
    
    Elle fait encore un pas, mais il l’arrête :
    
    — Suce-moi un peu, ce sera plus facile.
    
    Je suis à portée de main. Je pourrais la toucher. Elle ne s’agenouille même pas, juste en se penchant sur l’engin de ce jeune homme, confortablement assis comme s’il était accoutumé à cette adoration particulière. C’est une femme qui pourrait être sa mère qui s’essaie à gober sa bite, n’arrivant, malgré toute son expérience, à n’en prendre qu’une fraction. Mais une fraction qui suffit à déclencher chez lui un glapissement irrespectueux :
    
    — Putain, tu suces drôlement bien ! Mets beaucoup de salive, tu en auras besoin.
    
    Irrespectueux, mais aussi impatient, car un « Viens ! » met fin à la ...
    ... sucette. Le gland est gras de salive et Séverine est à nouveau souillée par des filets de bave. Pourtant elle est belle, avançant une jambe pour la placer tout contre la mienne. Le contact me fait frémir. La suivante de l’autre côté de Paul place ma femme en cavalière surplombant le bâton que Paul tient toujours vertical. D’une main, elle prend possession du mandrin. D’une flexion elle se place. Je ne peux m’empêcher de regarder. Comme dans un film de cul, alors que l’objectif zoome pour montrer en gros plan ce que d’aucuns trouveraient vulgaire, je me penche pour mieux voir. C’est cru, c’est fort, c’est puissant. Puissant comme cette bite qui ne fléchit pas alors que ma femme pousse le gland à l’entrée de sa chatte. Entrée gluante du foutre d’Éric dont je peux voir des coulures. Mais ce n’est pas la bite qui cède, c’est la fente. Elle se referme sur l’engin.
    
    — Ohhh.
    
    Il suffit de peu ; l’alphabet n’est pas nécessaire en entier. Le souffle qui accompagne cette interjection parle assez.
    
    — Ahhhh.
    
    Encore si peu alors que Séverine descend sur la bite. Elle s’arrête un instant. Son visage marque la souffrance et je m’inquiète :
    
    — Ça va, chérie ? Tu n’es pas obligée…
    — Non, non, ça va. Il est juste un peu… ohhh… gros. Il me gonfle… Le plug…
    
    J’avais oublié le plug qui lui garnit le cul. Nul doute qu’il tienne sa place. J’aurais pu y penser avant. Déjà Éric a dû le sentir, excroissance rude qui occupe bien sa place et en laisse peu pour l’autre.
    
    — Attends, je vais ...
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