L'éducation de Marie (4)
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: yphos, Source: Xstory
... rouge de honte et sa femme, quant à elle, rouge de colère. Tiens, d’ailleurs ils se lèvent et s’en vont…
— Tout compte fait, leur soirée ne sera pas celle que je pensais. Je crois que ce monsieur sera frustré d’aller dormir dans le canapé ce soir.
— En tout cas, ça me soulage de ne plus être observée ainsi.
— Avoue que ça t’a amusé. J’ai bien remarqué que tu te détendais, que tu ne cherchais plus à cacher ta poitrine comme lorsque nous sommes arrivés. Au contraire, tu avais même tendance à bomber le torse. Je suis sûr que tu as fait sensation ! As-tu remarqué comme les serveurs étaient troublés, comme ils tremblaient d’émotion en s’approchant de nous. Eux aussi ont été sensibles à tes charmes.
— Vous les hommes, vous êtes tous des pervers !
— Et vous, les femmes des aguicheuses ! Non, je plaisante !
Pour t’expliquer rapidement le comportement masculin, il faut que tu comprennes que nous sommes sensibles à la vue d’une femme. Pas forcément d’une femme nue, mais plutôt par la suggestion de sa nudité.
Si je t’ai fait acheter ces dessous, ce n’est pas pour rien…
Dans les temps anciens, les femmes portaient de longues robes, il suffisait qu’elle montre une cheville ou un mollet pour que les hommes soient en émoi. Donc, pour une femme, il suffit de suggérer, de faire monter un désir de découvrir ce qui est caché…
— Mais là, avec ma jupe courte, on peut voir plus que mes mollets !
— Tu as de très belles jambes, profites-en justement pour « suggérer ...
... ».
Elle ne répond pas et ses joues rosissent un peu. Pour la tirer de l’embarras, je demande la note et lui prends la main. La traversée inverse de la salle ne semble plus affecter Marie, elle se permet même de répondre aux sourires de certains hommes.
Après avoir réglé la note et récupéré nos vêtements. Je lui propose d’aller boire un dernier verre, mais elle préfère rentrer, car elle se sent un peu pompette.
Elle me tient le bras pour le retour et se tord la cheville très souvent, elle manque d’habitude pour marcher avec des talons, de plus, sa légère ivresse n’y est pas étrangère non plus.
Elle est d’humeur joyeuse et m’embrasse dans le cou ou sur la joue tous les dix mètres. Alors que nous sommes sur le point de traverser la chaussée, je la saisis par la taille et lui donne un baiser passionné en lui caressant les fesses. Une voiture qui passe donne quelques coups de klaxon à la vue de ce couple embrasé sur le trottoir.
Ensuite, Marie, semble tout à coup plus pressée pour marcher. Il en est de même pour moi, car ce jeu de langues lors de notre baiser m’est arrivé directement au slip.
Une fois refermée la porte de mon appartement, je la débarrasse de sa veste, l’invite à s’asseoir confortablement dans un fauteuil du salon en laissant une lumière tamisée. Je lui propose ensuite de lui masser ses pieds endoloris.
Marie, d’abord hésitante, me laisse la déchausser, alors que je me tiens agenouillé à ses pieds.
Je masse au mieux chaque pied en y faisant ...