1. L'instit


    Datte: 16/11/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, initfh, f+prof, Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe

    ... notre plaisir éclate simultanément.
    
    Puis, nous nous sommes racontés. Elle avait une vie insipide. Elle connaissait parfaitement son travail à l’hôpital et le faisait presque par routine. En dehors de cela, la famille, les sorties en boîte les week-ends quand elle était libre, suivi quelquefois d’une copulation pas toujours intéressante.
    
    Ses parents lui avaient raconté en gros mon histoire, mais elle a exigé des explications, surtout sur mes rapports avec la gent féminine. Je lui ai expliqué que cette année je me retrouverai bien seul, Hélène ne venant plus assurer le ménage, et le reste. Mais tout de même je suis content d’être là-bas, malgré les rigueurs de l’hiver, j’apprécie l’amitié de tout un village. Adeline m’a écouté, souriant quand je parlais de mes amours. Lorsque j’ai évoqué le manque de personnel médical, elle a été surprise. Pas d’infirmière à proximité du village ?
    
    Nous nous sommes aimés une nouvelle fois, puis discrètement j’ai quitté la chambre laissant une Adeline pensive. Je venais de retrouver mon premier amour et cela me questionnait. J’avais éprouvé beaucoup de plaisir, autant qu’avec mes autres compagnes, et pourtant ce soir, il me manquait quelque chose.
    
    Je suis rentré chez Nadine, elle venait juste d’arriver. Je n’ai naturellement pas parlé de mon rendez-vous. Cela ne l’aurait pas gênée sauf le fait que je risquais de ne pas être en grande forme ce soir Et en effet, je n’ai pu assurer qu’une prestation minimum, invoquant la fatigue ...
    ... occasionnée par les deux nuits précédentes. Cela l’a laissée un peu sceptique.
    
    Adeline m’a appelé le lendemain matin. Elle était de repos et ses parents en profitaient pour m’inviter à déjeuner. Elle me prévenait qu’elle ne leur avait pas parlé de notre rencontre de la veille, donc, de ne pas commettre d’impair.
    
    Je suis arrivé un peu chargé, deux bouquets de fleurs pour les femmes, une bouteille de bon vin pour Jean.
    
    J’ai été accueilli à bras ouverts. Quand Adeline est apparue, j’ai fait l’étonné, répétant la surprise de la veille.
    
    — Hein Michel, qu’elle est belle notre petite, m’a dit Isabelle.
    — J’avoue que j’ai laissé une gamine et quand je vois comment elle s’est transformée, je suis surpris. Depuis que je ne l’avais pas vue, je ne l’aurais pas reconnue dans la rue.
    — Mais tu peux l’embrasser, elle ne te mordra pas, me dit sa mère.
    — Je te remercie de ton autorisation, mais je crois que je l’aurai fait même si tu me l’avais interdit.
    
    Les parents ont éclaté de rire pendant qu’on s’embrassait. Jean me regardait d’une drôle de façon, se disant probablement que j’allais reprendre contact avec sa fille.
    
    Isabelle nous avait préparé un excellent repas qui s’est déroulé dans la bonne humeur. Elle me surveillait, espérant que je ferais la cour à sa petite. Jean ne disait rien.
    
    Adeline m’a indiqué qu’elle avait quatre jours de congés. J’ai eu soudain une idée, pourquoi ne pas l’amener visiter mon coin de paradis. Je lui ai proposé. Elle m’a regardé en souriant et ...
«12...262728...»