1. Mensonge & Cie (1)


    Datte: 16/11/2019, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... marche avec vous.
    
    — Alors voilà, comme on dit : Adieu !
    
    — Hé hé, adieu !
    
    Et sur ces bonnes paroles, nous nous séparâmes.
    
    ***
    
    Les choses auraient pu en rester là. Mais il faut croire que, derrière son caractère de pleutre, Monsieur Portini était un retors. Deux jours plus tard je recevais un appel de sa part :
    
    — Monsieur Guillet ?
    
    — Oui.
    
    — Votre femme, Élodie, ne vous a encore rien dit ?
    
    — Me dire quoi ?
    
    — Que je l’ai baisée ! Ah ahah ! Je l’ai baisée quelques heures après vous avoir vu ! Alors espèce de tocard, qu’est-ce que tu dis de ça ?
    
    — Ma femme... Vous mentez ! Jamais elle n’aurait fait ça.
    
    — Vous ne me croyez pas ? Pourtant rien de plus facile à prouver. Elle était ravie de se faire filmer pendant l’acte, vous avez une adresse e-mail ?
    
    Je lui donnais. Aussitôt un fichier vidéo me parvint, je l’ouvris.
    
    On y voyait en effet Élodie et ce sale con de Portini. La scène devait avoir été prise dans un hôtel. Élodie avait le cul cambré pendant que mon concurrent enfonçait sa queue bien raide dans sa chatte. Il lui tenait les épaules et donnait de petits coups secs, comme un lapin en train de sauter sa femelle. Élodie criait : « baise-moi ! » « Fourre-moi, j’en ai marre de mon mari. Il n’a aucune imagination, toi tu me prends comme une chienne, j’aime ça. »
    
    Portini ne se gênait pour lui répondre : « Oh oui, ça fait longtemps qu’on t’a pas bien baisé à fond, hein... Mais avec moi, tu vas vraiment jouir. Je vais te bourrer comme une ...
    ... salope. »
    
    Élodie avait une expression de joie sur son visage, elle avait vraiment l’air de prendre son pied à se faire tringler. Elle n’avait aucune honte, la queue de mon concurrent s’enfonçait avec une cadence redoublée dans son con et j’entendais les halètements devenir de plus en plus forts. Je pouvais voir les magnifiques seins d’Élodie ballotter en rythme des coups de boutoir qu’elle recevait. « Oh, Hervé, c’est trop bon ! »
    
    Je serais les dents et criais de rage : « Salaud ! Espèce d’enflure, tu ne l’emporteras pas au paradis !
    
    — Allons, c’est juste un jeu, Jérôme. Et vous avez perdu... Vous étiez face à plus fort que vous.
    
    — Enfoiré.
    
    — Et puis avoir une femme de vingt ans moins que vous, c’est pas raisonnable. Elle avait besoin d’une queue de son âge pour lui pilonner la chatte...
    
    — Vous aviez promis d’abandonner. Vous n’avez aucun honneur !
    
    — Allons, maintenant vous devenez idiot. Je n’allais pas vous dire que j’allais baiser votre femme devant vous, ça n’aurait pas été... poli. Quoi qu’il en soit, je ne crois pas qu’il soit utile que vous veniez la semaine prochaine pour assister au résultat du concours. Alors cette fois, adieu Jérôme, et pour de bon... Oh, comme je n’ai pas mis de préservatif, je vous ai peut-être laissé un souvenir qui va grossir dans les neuf mois qui viennent, ha ha ha ! »
    
    L’ordure raccrocha.
    
    Mais la semaine suivante j’étais tout de même là, au siège social de Voréal. Je vis que Monsieur Portini qui attendait dans le hall ...
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