1. Bécassine, c'est (plutôt c'était) ma voisine


    Datte: 16/11/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, voisins, intermast, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... pourrions détruire un amour éternel, ajouta-t-elle, cynique.Quelques mètres plus loin, elle en remit une couche avec perfidie :— C’est pas toi qui me baiserais comme ça en dehors du confort douillet de ton grand lit.— Tu paries ?— Viens, dit-elle en m’attrapant par le bras et m’entraînant à l’écart du chemin.— Ça va pas ! Tu veux qu’on se démonte le dos, mon chou ? On n’a plus vingt ans.— Tu vois, tu te dégonfles.— Propose-moi un lieu acceptable.Elle réfléchit un bref instant.— Le balcon, ça te va ?— Va pour le balcon.— Ce soir !— Si tu me prends par les sentiments…— Les sentiments, les sentiments, c’est beau ! Mais t’as rien de plus concret, de plus consistant… à m’offrir ?À peine arrivés, Mathilde me catapulta sur le balcon. Elle tomba à genoux et s’attaqua à mon ceinturon. La vision du couple à l’œuvre et le défi qu’elle m’avait lancé avaient dû la faire fantasmer pendant le trajet. Cela faisait un moment que je ne l’avais pas sentie aussi impatiente. En moins de temps qu’il ne faut à un homme politique pour faire une promesse, Monsieur Paul se retrouva à l’air libre. Il n’y resta pas longtemps. Ma doulce épouse l’avait déjà pris en bouche. Je m’adossai à la balustrade pour être plus confortable.Elle avait un savoir-faire dû à des décennies de pratique et à une connaissance « approfondie » de son partenaire (moi, en l’occurrence !) et de son outil. Ma bite ne résistait jamais à ses attaques dilatoires. Elle pouvait me maintenir dans l’attente le temps qu’elle désirait. ...
    ... Alternant les pénétrations profondes, les agacements du gland, le léchage de la hampe et des couilles, le gobage de ces dernières. Je n’avais jamais failli lorsqu’elle me suçait. Par contre, je n’avais jamais éjaculé dans sa bouche. Je devais jouir en elle, dans son con ou dans son cul. Elle aimait sentir mon foutre tapisser ses parois. Je la soupçonnais plus simplement de ne pas aimer du tout le sperme, en tout cas le mien. Mais bon, cela ne me gênait guère.Elle ne dérogea pas à la tradition. Après m’avoir amené au bord de l’extase, elle me ramena à la réalité en pinçant sévèrement mes testicules. Elle se redressa et m’embrassa à pleine bouche. Son baiser avait le goût de ma bite en fin de journée. Elle se plaqua contre moi. Sidéré, je m’aperçus que, tout en me prodiguant une fellation haut de gamme, elle avait fait en sorte de se débarrasser de ses vêtements. Je sentis sa fine toison presser ma bite. Pour plus de commodité et afin de la pilonner plus intensément, je retournai la situation : elle se trouva à son tour adossée à la barrière. Tendu comme je l’étais et lubrifiée comme elle l’était, la jonction entre mon pénis et sa vulve s’effectua sans anicroche. Pour mieux s’ouvrir, elle avait placé ses pieds derrière mes chevilles. Mes mains sous ses fesses pour la soutenir, j’entrepris de la « baiser ». La position me permettait une pénétration profonde, et je ne m’en privais pas. À chaque coup de boutoir, son cul claquait contre la balustrade. Je m’apprêtais à lâcher ma ...
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