1. Bécassine, c'est (plutôt c'était) ma voisine


    Datte: 16/11/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, voisins, intermast, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... sans en forcer l’entrée.
    
    — Jésus, Marie, Joseph ! Que c’est bon ! C’est chaud, c’est doux ! Je fonds.
    
    Je jetai mes mains à l’assaut de ses nénés. Elle joignit ses mains aux miennes. De concert, les doigts entrelacés, nous pétrissions ses nichons. Au passage, je pinçais ses gros tétons. Ce qui provoquait des petits cris de douleur/plaisir. Son corps vibrait.
    
    — Jean-Pierre, pauvre cocu, tu ne m’as jamais autant procuré autant de plaisir avec ton gros machin que Guillaume avec sa langue. Huuuumm… Oui… Comme ça… Mets-la dans ma… foufoune. Oh, j’ai dit un gros mot, j’irai en enfer… j’m’en fiche ! C’est trop bon… Baise-moi ! Encore un gros mot ! Pardon, Seigneur ! Oui, je veux la sentir.
    
    J’exauçai son souhait. Mon substitut de queue baisa sa chatte. Tel un pénis miniature, par de lents va-et-vient, elle la pénétrait aussi loin qu’elle pouvait. Brusquement son corps se cabra. Elle croisa ses jambes derrière mon cou, écrasant ma bouche contre sa vulve, le nez, contre son clito. Un coup à mourir asphyxié, mais j’avais un rôle à tenir, et surtout je ne voulais pas la décevoir, la frustrer dans cette première envolée. Pour s’envoler, elle s’envolait, elle délirait un max :
    
    — Quelle gentille… elle est gentille, cette langue ! Qu’elle me baise bien… Ouiii… T’as vu, maman, ce qu’il me fait, Guillaume ? Je coule… Ahhhhhhhhaahhhha… Oh, mon Dieu… C’est ça le ciel… Je vois des anges… Ou-ou-oui ! Baise-moi, cochon… Je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiii iiiiiiiiiii.
    
    Elle se détendit. ...
    ... La pince se relâcha. Je pus m’extirper, le souffle court, à deux doigts de la syncope. Pas peu fier d’avoir amené Janine à cette révélation. Je ne la regarderai plus jamais de la même manière. R.I.P., Bécassine.
    
    Je n’eus guère de temps pour récupérer. Ma nouvelle amante s’était laissé glisser de la banquette. Ses cuisses collées aux miennes, mon vit bandé plaqué contre sa chatte baveuse, elle m’embrassait à pleine bouche. Je dus la repousser.
    
    — Désolé, Madame, mais j’ai besoin de prendre mon souffle.
    — Je suis trop contente. Juste avec votre langue, vous m’avez fait renaître. Je ne me rappelle pas avoir pris autant de plaisir.
    — Je ne crois pas y être pour grand-chose. Vous avez des dispositions naturelles. Simplement, jusqu’à ce soir vous ne le saviez pas.
    — Vous êtes trop chou.
    
    Et de me réembrasser. Son manque de technique était compensé par un enthousiasme juvénile. Monsieur Paul frétillait, contre son ventre, de contentement.
    
    — Mais vous, Guillaume, vous n’avez pas…
    
    Je me détachai d’elle ; je retrouvai la position verticale.
    
    — Vous m’aviez bien dit que Jean-Pierre n’avait jamais voulu que vous jouiez avec sa verge.
    — Oui. Pourtant, j’aurais bien voulu.
    — Moi, j’adore. Et comme vous êtes juste dans la bonne position, ne vous gênez pas. Vous pouvez toucher, et plus si affinités.
    
    Je n’eus pas à le dire deux fois. Sa dextre, lancée en reconnaissance, explora d’abord du bout des doigts, puis à pleine main. De la hampe aux couilles, aucun centimètre ...
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