1. Les affres de Julie (6)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Masturbation Inceste / Tabou Auteur: t411, Source: xHamster

    ... sa chatte que par le cul. Et le matin, je la regardais se lever, elle ne se rappellait de rien, elle ne se rendait même pas compte qu'elle était aspergée de sperme.
    
    Son voisin aurait pu poser problème, c'était quelqu'un que je ne connaissais pas, qui s'était pris de sympathie pour Julie et qui voulait visiblement la protéger. Mais heureusement pour moi, il était regulièrement en déplacement, et ne posa pas plus de problème que ça.
    
    Je me suis longtemps posé la question, pourquoi préscrire le diurétique ? Le psy m'avait répondu que c'était un but de la faire "regresser".
    
    - Je veux la faire devenir la pisseuse à son papa... Qu'elle regresse... Que ça devienne une obséssion pour elle de se masturber en pensant à son père. Qu'elle ne trouve du plaisir qu'ainsi.
    
    Elle passait certaines après-midi à se masturber dans son salon, à regarder une photo de son père. Quand elle jouissait, elle attendait quelques instants pour reprendre ses esprits, et replongeait sa main vers sa chatte pour se masturber à nouveau. Elle ne remarquait même pas qu'elle y passait des journées.
    
    Elle ne remarquait même pas que j'étais là, à la filmer ou à la prendre en photo. Je plaçais ma camera juste devant sa chatte, et elle ne disait rien. Je n'avais même plus besoin de mes camera de surveillance. Je me montrais au grand jour, et elle ne me voyait pas, ou bien, lorsqu'elle commençait à reprendre ses esprits, disait voir une silhouette noire, avec une cagoule. Elle prenait peur, et ...
    ... m'obéissait sans sourcillier.
    
    Avant d'oublier.
    
    Ca m'arrivait de la baiser pendant ces longs après midi où elle se masturbait. Je la filmais en même temps, je lui giflais les seins en tapant ma queue au fond d'elle. Je lui demandais de penser à son père, et elle jouissait fort, sans pouvoir se retenir.
    
    Il y a quelques jours, nous avons changé ses médicaments par des placebo. Des simples comprimés neutres, sans effet. Elle a doucement commencé à retrouver sa lucidité.
    
    Elle se posait des questions, ne comprenait pas ce qui lui arrivait, tout cela était source de stresse pour elle. Et avec bonheur, j'ai pu constater que la seule chose qui la détendait, c'était le soir, en se couchant, de se doigter longuement en appelant doucement son père.
    
    Le quatrième jour, j'ai eu la soeur de Julie au téléphone, qui m'a dit qu'elle irait chez ses parents profiter de la piscine, et qu'elle envisageait d'appeller Julie pour qu'elle vienne avec elle.
    
    Je me montrais enthousiaste à l'idée, lui dit que ça lui ferait surement du bien.
    
    Et ce cinquième jour, je suis allé voir Julie alors qu'elle prenait son bain.
    
    Son père était passé la voir, la veille au soir.
    
    Ils avaient mangé ensemble. Elle ne s'en rappellait plus, et peut être était-ce mieux comme ça. Elle l'avait accueilli en jupe et chemisier noirs, mais le chemisier était tellement décoleté, mettant en valeur un soutien gorge en dentelles, que c'était difficile pour son père, malgré le fait que ce soit sa fille, de ne pas y ...