1. Canicule


    Datte: 14/11/2019, Catégories: fh, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Balou, Source: Revebebe

    ... torse. Sa langue s’engouffra dans les oreilles, sa bouche suça le cou et remonta vers les lèvres masculines.
    
    Balou renversa Aline. Au-dessus d’elle, il lui empoigna les poignets, écarta ses cuisses, et d’un puissant coup du bassin il la pénétra.
    
    Aline avait libéré le fauve.
    
    ***
    
    Secouée comme un fétu de paille la jeune femme brune criait, suait, gémissait. Balou maintint d’autorité les jambes d’Aline sur ses épaules. Il la pilonnait avec rage. Elle aimait cette forme de puissance, il le savait.
    
    Ensuite Balou lui écartela entièrement les jambes pour encore venir plus vigoureusement dans le ventre de la belle. Aline le sentait bien en elle, profondément loin. La sueur ruisselait entre ses seins dressés vers le mâle qui la prenait avec entrain. Il y avait si longtemps, une éternité qu’elle n’avait plus connu une si furieuse extase. Elle se laissait à la merci de l’homme, elle se donnait à lui, elle voulait encore jouir de lui.
    
    Il quitta son ventre, se redressa, et la retourna comme une crêpe. Balou releva le fessier d’Aline. Elle comprit immédiatement. Elle se positionna à quatre pattes et écarta les deux globes de sa ...
    ... divine croupe.
    
    L’instant ultime arrivait.
    
    Le gland cogna contre son doux œillet. Aline sentit un, puis deux doigts humides explorer son fourreau anal. Doucement ses muscles se dilatèrent. Elle n’avait que rarement goûté à cet exercice, mais en ces instants de délire elle fondait de plaisir, voulant déguster tout ce dont elle avait envie.
    
    D’abord une vive brûlure. Ensuite un écartèlement horrible. Le gland passait. Une poussée progressive, la tige de chair la pénétrait lentement presque avec tendresse. Aline se sentait remplie, écartelée. Elle haletait. Elle frémit lorsque les mains de Balou se posèrent affectueusement sur le bas de son dos. Il appuya un peu pour qu’elle s’abaisse légèrement, et d’une brusque poussée il la pénétra jusqu’à la garde.
    
    Aline crut que la verge allait la transpercer, elle avait le souffle coupé. Elle hurla lorsque débutèrent les va-et-vient.
    
    Le vieux matou couché sur le rebord de la fenêtre n’en perdait pas une miette. Le mâle couvrait la femelle. Tous deux luisaient de sueur. Le lit grinçait, cela dut agacer le chat qui décampa lorsque le couple jouit en hurlant à l’unisson.
    
    Balou, été 2006 
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