En chlore et en chlore...
Datte: 14/11/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Akileditu, Source: Hds
... je le serre encore plus fort. Au moment de jouir, je le relevais de la table et venais appuyer ses épaules contre le mur- il avait fini, lui aussi, par aimer ma position favorite -. Cinq ou six coups de reins suffirent à me faire exploser dans son ventre. On resta ainsi un petit moment puis on rejoignit les autres aux douches.
Tous les quatre, on s’occupa les uns des autres, se savonnant, se caressant, s’embrassant…il ne fallait surtout pas toucher la bite de Paulo, je crois qu’elle nous aurait explosé dans les mains ! On se sécha. Paulo nous offrit à chacun un superbe maillot de bain au choix. Slimane lui dit qu’il le porterait toujours pendant le boulot - il est maître nageur – pour se rappeler ces bons moments. Paulo, lui, n’en mit pas. Il préféra enfiler son jean slim sans sous vêtement. Il eut d’ailleurs le plus grand mal à y caser sa bite. Il disait que c’était pour aller plus vite quand il me sauterait dessus à la maison ! Les deux autres dirent qu’ils étaient jaloux et que j’étais un ...
... sacré veinard…
Paulo, qui commençait à mieux comprendre le français, leur dit :
« No guys, it’s me who am lucky. I had two beautiful cocks enduring and a very cuddly ! » ( Non les gars, c’est moi le veinard. J’ai eu deux belles bites endurantes et une bien câline).
Paulo refusa la voiture d’Ali pour le retour. On se quitta sur le trottoir en se promettant de se revoir bien vite. Le retour à pieds fut…plus que chaud. Jamais je n’aurais dû le laisser dans cet éat là. Tous les vingt mètres, il voulait me sauter dessus, n’y tenant plus. On avançait collé serré, on se fir même klaxonner deux fois. A un moment, j’ai même cru qu’il allait me sauter ainsi debout, sous une porte cochère. C’était trop bon de se sentir ainsi désiré. Arrivés à l’étage, il était déjà torse nu, la braguette ouverte et la bite dressée - par jeu bien sûr, mais ça, c’est Paulo -. Heureusement qu’il était plus de vingt trois heures et qu’il n’y avait personne dans les escaliers.
La nuit qui suivit fut…délicieusement infernale.