1. Un engin exceptionnel


    Datte: 14/11/2019, Catégories: fh, extracon, grossexe, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, ecriv_f, Auteur: Stéphanue, Source: Revebebe

    ... Torsten, debout au milieu des autres, les dépassant d’une tête avec sa toison rousse. Je l’imaginai surtout nu, imberbe, sauf sa touffe surplombant une queue qui lui descendait jusqu’au milieu de la cuisse. Nancy surprit mon regard et, loin de s’offusquer, me sourit d’un air complice.
    
    — Tu me le prêterais ? lui demandai-je en riant.
    
    Elle se mit à rire elle aussi, mais ne répondit pas.
    
    En moi-même, je pensai :
    
    "Ma petite Nancy, d’accord ou pas, je vais me le faire, ton Torsten !"
    
    Mon sexe en palpitait déjà d’envie.
    
    J’avais hâte que la soirée se finisse. Toutes les cinq minutes, je jetais un œil en direction de Torsten, et je ne pouvais lever mon regard de son short, qui avait l’air bien rempli.
    
    Plus tard, lorsque tous les invités furent partis, non sans que je fasse une bise appuyée d’un clin d’œil à Nancy, pour son "tuyau", et que je me frotte un peu à Torsten, je ne pouvais toujours pas chasser l’image de cet engin de mon esprit.
    
    Une fois au lit, Olivier commença à me caresser et fut fort étonné de me trouver déjà toute mouillée.
    
    — C’est pour moi que tu mouilles comme ça ? me demanda-t-il.
    — J’ai rêvé de sexe toute la soirée ! lui répondis-je, sans mentir.
    
    Il me tripota le clitoris maladroitement, à son habitude. Je me plaçai donc rapidement en levrette pour qu’il me prenne sans que je le voie et, surtout, pour que je puisse me tripoter moi-même. Je cambrai les reins au maximum et l’encourageai :
    
    — Vas-y, prends-moi à fond…
    
    Je l’entendais ...
    ... souffler comme un bœuf pendant qu’il me pilonnait. J’imaginai la grosse queue de Torsten déchirant mon antre alors que j’agitais frénétiquement mes doigts sur mon petit bouton d’amour. Je ne tardai pas à jouir, à ce rythme-là, alors qu’Olivier m’envoyait la purée, avant de s’écrouler, épuisé.
    
    Aussi sec, il se retourna et me lança :
    
    — Bonne nuit, mon amour. Demain, je me lève tôt pour le match.
    
    Le salaud me laissait en plan, sur ma faim, pour son stupide match de foot.
    
    Toi, mon ami, tu ne perds rien pour attendre. Tu seras cocu bientôt.
    
    Le lendemain matin, je me lève tard. Olivier est déjà parti. Mon sexe est déjà en feu, car j’ai rêvé toute la nuit de la queue géante de Torsten. Un plan a d’ailleurs germé dans ma tête pour parvenir à mes fins. Pour une fois que le foot va me servir à quelque chose !
    
    Il fait déjà chaud et je me prépare rapidement. Un petit tour sous la douche pour me faire belle. Au passage, il faut que j’éteigne le feu qui brûle mon bas-ventre. Je dirige le jet sur mon clitoris. L’écoulement de l’eau sur mon bouton d’amour m’excite au plus haut point. Je ne tarde d’ailleurs pas à jouir en gémissant très fort.
    
    Ce Torsten va devoir éteindre lui-même ce qu’il a contribué à initier - bien involontairement, je dois le reconnaître -.
    
    Déjà 11 heures. J’enfile une robe d’été ample et légère. Elle laisse deviner ma poitrine ferme dont les tétons pointent agressivement. J’enfile un string blanc minimaliste et je me ravise. Après tout, autant ne ...
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