La Femme du Consul 05
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... courte jupe et d'un vaste tee-shirt baillant sur le devant, elle avait enfilé une ceinture porte-jarretelles d'un rouge agressif qui tenait ses bas noirs, elle était chaussée de hauts talons vertigineux qui lui conférait une démarche chaloupée, croupe cambrée.
Elle s'était posée quelques questions, mais habituée à se taire elle ne fit aucun commentaire lorsqu'il l'invita à monter en voiture, à ses cotés.
Elle ne vit pas où ils allaient, penchée sur lui elle était bien trop occuper à lui tailler une plume tandis qu'il conduisait. Quelques minutes plus tard, la bouche pleine elle se releva, ils roulaient dans un faubourg qui lui était totalement inconnu.
Enfin, il ralentit en arrivant devant une riche villa cossue et se gara dans la cour.
Ils se trouvaient dans la villa du premier secrétaire de l'ambassade du Royaume UNI. La femme de ce haut fonctionnaire, dans des circonstan-ces similaires était tombée sous l'emprise d'Hakim qui l'avait confiée de-puis un an à Mohamed, un autre de ces hommes de main.
Ce dernier, profitant d'une absence de ce haut fonctionnaire partit repré-senter son pays, avait concocté cette soirée avec Abdou, invitant quel-ques amis à y participer.
Odile toute étonnée reconnut Elisabeth Smithson ...
... lorsqu'elle leur ouvrit la porte. Elle était vêtue en soubrette, mais ne portait qu'une coiffe, et un court tablier blanc sur ses bas, lorsqu'elle se retourna pour les annoncer, elle vit distinctement son cul nu sous sa ceinture porte jarretelles.
Elle comprit immédiatement que cette femme devait se trouver dans la même situation qu'elle.
Cinq hommes les attendaient verre en main au salon.
Abdou les présenta rapidement Mohamed, notre hôte, Kamel, Hafid, Nourad et Ahmed, trois noirs et deux arabes. Elle tendit la main au pre-mier, il la refusa, la prenant dans ses bras pour lui rouler d'entrée une pelle baveuse, surprise, elle détourna la tête, une claque de son maître sur les fesses lui rappela ses devoirs : il disposait d'elle selon son gré, il pouvait la prêter à qui il voulait, quand il voulait, pour le temps qu'il vou-lait, elle n'avait ni à poser de questions, ni à hésiter.
Elle rendit son baiser à leur hôte, enveloppant sa langue de la sienne, se laissant servilement explorer la bouche. Les quatre se permirent les mêmes privautés, sans un mot, sans une hésitation elle répondit à leurs baisers, se cambrant sous leurs caresses, écartant les cuisses pour lais-ser des doigts curieux visiter furtivement ses intimités.