Je fais la salope 3, J’allume les hommes - Histoires de Sexe

Je fais la salope 3, J’allume les hommes

Après un we très chaud, je recommençais mon cinéma le lundi.

A la pause déjeuné, je décidais d’éviter à la brasserie du vendredi. En passant non loin, je voyais qu’elle était fermée. J’en ai trouvé une autre un peu plus loin, plus chic.

Je commençais à déjeuner tranquillement tout en faisant la salope, lorsque mes trois compères sont arrivés. Laurent toujours le plus hardi est venu me saluer

« Bonjour Helen »

tout en s’installant à coté de moi ;

Les autres l’ont suivi ; je me suis retrouvée encore encadré par Laurent et Philippe.

Moi « bonjour »

Laurent « vous vous êtes échappé vendredi en nous abandonnant à notre triste sort »

Moi « vous êtes très malheureux »

Philippe « nous vous avons cherché sans succès »

Jean Michel « ce n’est pas bien de nous abandonner »

Moi « il fallait que j’aille travailler et j’étais en retard »

Laurent « je vous avais dit que je vous ferai un billet d’excuse »

Moi « je crains que cela ne soit pas suffisant »

Je voyais bien qu’ils étaient décidés à déjeuner avec moi. Je mouillais déjà comme une chienne, et je faisais tout pour les allumer encore plus.

Comme nous étions dans une brasserie plus chic, il y avait de véritables nappes sur les tables. Cela n’a pas échappé à Laurent qui à rapidement une fois servi remonté la nappe pour commencer à me remonter les cuisses que j’avais croisé. Personne ne pouvait nous voir

Sa tache était plus facile car je portais une jupe plissée.

Il n’hésita pas à me ...

... remonter les cuisses jusqu’à mon string ; Philippe en fit autant ; j’avais chaud surtout aux fesses. Je dégoulinais.

Tout en parlant, il me prit encore le genou à pleine main pour me décroiser les cuisses, je résistais comme la première fois pour la forme, mais je finis par me laisser faire. Il en profita, après deux ou trois remontées de cuisses, pour m’écarter mon string et commencer à me fouiller. Je sursautais.

Il introduit les doigts dans la fente à l’entrée de mon vagin ; je ne pouvais pas dire que le n’étais pas excitée. Je contenais les orgasmes de plus en plus mal. Je mettais ma tête dans mon verre pour souffler car ma respiration s’accélérait sérieusement.

Philippe en faisait autant, j’écartais les cuisses comme une traînée. Je décidais de passer moi aussi à l’action. Tout en parlant avec eux je retirais ma chaussure pour aller caresser le sexe de Jean Michel qui était en face de moi.

Comme j’avais commencé de déjeuner avant eux et que pendant qu’ils me baratinaient, ils ne mangeaient pas. J’ai terminé avant eux. Je me suis dit salope pour salope, je ne me retiens pas. J’ai passé ma main droite sous la table pour aller caresser la braguette de Laurent qui bandait très fort. Je lui remontais le sexe, je voyais bien que je lui faisais de l’effet. J’ai fini par jouir en me mordant les lèvres, et au vu de la vague de cyprine que je leur ai déposé sur les doigts, je ne pouvais plus rien cacher. Je continuai mon exploration en descendant la fermeture éclair de la ...