1. Kentin 6 J'accepte tout pour la garder


    Datte: 13/11/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Kentin, Source: Hds

    ... mon amant ne change rien au fait tu sois mon mari et que je veuille continuer de vivre avec toi comme avant. J’ai besoin de toi, de notre fille et de Pierre pour notre équilibre, mon chéri.
    
    -Mais ce que tu me demandes est impossible. Jamais je ne pourrais tolérer ce que tu es en train de me demander.
    
    -Si tu croies que ta famille est prête à assumer tes tendances homosexuelles. Je vois d’ici la tête de ta mère.
    
    -Ce que tu me dis est ignoble!
    
    - Si tu essayes de m’empêcher de vivre, ce sont les arguments que j’utiliserai. Tu le sais je serai prête à tout pour garder notre fille. Mais je ne veux pas en arriver là. Tu es l’homme que j’ai choisi et le père de Katia. Je tiens à toi plus que tu ne peux l’imaginer dans ta petite tête. Alors, à partir de maintenant, c’est moi qui décides. Et, je décide que l’on continuera à vivre comme nous l’avons toujours fait, Pierre en plus!
    
    C’est ainsi que j’ai accepté la situation qui m’était imposée. Le départ a été difficile mais petit à petit j’ai fini par trouver mon compte.
    
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    -Ce que tu es belle, maman.
    
    -Tu es gentille, Katia. Ce soir maman sort et c’est papa qui te couchera. Quand je reviendrai de ma réunion je viendrai t’embrasser dans ton lit.
    
    Elle portait une jupe courte, un ...
    ... chemisier échancré. Portait elle des collants ou des bas? En tout cas, elle s’était préparée pour un autre que moi. Elle nous embrassa sortit, j’entendis le démarrage de sa voiture. Depuis la clarification de la situation, elle était rayonnante dans la vie quotidienne. D’un commun accord elle dormait ces soirs là dans la chambre d’amis qu’on avait aménagé. Pendant qu’elle se rendait chez Pierre pour faire l’amour, je me rendais sur des sites érotiques pour lire les témoignages de types dans mon genre dont la femme allait voir d’autres hommes. Je me sentais rassuré : je n’étais pas le seul.
    
    Nous continuions à faire l’amour une fois par semaine. Pas toujours le même le soir, mais toujours selon le même rituel. Le plaisir que je lui donnais avec ma langue n’était plus une condition nécessaire. Quand son sexe était suffisamment humide et ses lèvres un peu gonflées, elle m’incitait à venir en elle. Contrairement à nos périodes précédentes, elle n’était plus passive vaginalement, elle accompagnait mes poussées de petits mouvements de bassin, elle gémissait un peu maintenant. Tout cela me procurait une excitation suffisante pour que je me répande en elle assez vite. Contrairement à son amant, je n’étais pas un bête de sexe, il fallait s’y faire... 
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