Au téléphone
Datte: 12/11/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Oral
pénétratio,
Auteur: Christophe, Source: Revebebe
... J’étais en train de me sécher quand le téléphone a sonné. J’ai vite passé un peignoir pour aller répondre, c’était sûrement Sophie. C’était bien elle, son père allait mieux. Je me suis assis sur le divan pour bavarder un moment avec elle. Élise était accroupie, passant en revue ma discothèque. De temps en temps, elle se retournait pour me jeter un regard.
Tout à coup, elle est allée fermer les rideaux. J’ai senti mon cœur battre à toute vitesse. Autrefois, je savais bien quelle signification précise Élise donnait à ce geste : il est temps d’aller au lit ! Elle est venue debout devant moi, a retiré la serviette, et a lentement dénoué la ceinture du peignoir. J’ai eu beau lui faire non de la tête, très rouge, j’ai entr’aperçu son pubis, toujours rasé me sembla-t-il, et ses seins ont écarté le tissu du peignoir pour venir s’offrir à moi. Heureusement, Sophie parlait beaucoup et je pouvais répondre par monosyllabes. Élise souriait et semblait s’amuser beaucoup de la situation. Et, à ma grande honte, elle fixait la bosse qui commençait à tendre mon peignoir. Elle a fait tomber son peignoir par terre - le peignoir de Sophie ! - et elle a tiré sur la ceinture du mien. Comment résister ?
Comment rester fidèle à Sophie dont la voix joyeuse se déversait dans mon oreille ? Les seins d’Élise se tenaient encore fièrement, et, oui, sa chatte était rasée comme il y a dix ans. Après avoir écarté les pans de mon peignoir suffisamment pour bien voir ma queue superbement dressée, des deux ...
... mains elle a ouvert comme une fleur son sexe, si sombre à l’extérieur et si rose à l’intérieur, avec une pellicule humide et brillante.
La petite cochonne s’est alors penchée et, doucement, elle a embrassé mon gland. J’ai failli hurler sous la douceur de la caresse et la perversité de la situation. Elle s’est relevée. J’ai voulu la prendre par les cheveux pour qu’elle continue sa caresse, mais elle s’est reculée et m’a fait signe de couvrir le téléphone avec ma main. Elle m’a demandé :
— Tu veux que je continue ?
— Oui, oh oui.
— Dis-le. Dis : suce-moi encore, Élise.
J’ai dû précipitamment retirer ma main pour répondre à Sophie, puis j’ai remis ma main et j’ai dit :
— Suce-moi, Élise, s’il te plaît.
Elle a souri et s’est agenouillée entre mes cuisses. Lentement, elle a englouti mon sexe entre ses lèvres, ne s’arrêtant que le nez dans mes poils. Elle avait fait des progrès en dix ans ! J’ai caressé ses cheveux épais, encore humides, et j’ai senti sa langue tourner autour de mon gland. Je ne sais pas comment Sophie n’a pas remarqué que mes interventions étaient de plus en plus rares, courtes et prononcées d’une drôle de voix. Je ne voulais pas jouir, parce que j’avais envie de pénétrer Élise, de retrouver son con si étroit - l’était-il encore après une naissance ? J’ai compris qu’Élise désirait me faire jouir dans sa bouche, et je me suis laissé aller. Mon gland était tumescent, ma queue très dure, tout mon désir exacerbé par cette scène que je n’aurais jamais ...