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Une nuit interdite
Datte: 12/11/2019, Catégories: fh, alliance, grosseins, intermast, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Sébastien.trufin, Source: Revebebe
... dis que cela pouvait anéantir l’ambiance, et la culpabilité prendre le dessus sur l’envie au moment où nos regards se croiseraient. Je m’abstins donc et approchai mon visage de sa toison. Elle comprit tout de suite car elle écarta largement ses cuisses, m’attrapa par la nuque et m’offrit son abricot. Sa chatte n’était plus qu’un torrent de cyprine. Ma langue pénétra au plus profond de son trou et remonta jusqu’à son clito. Mon traitement fit rapidement son effet, et un deuxième long râle sortit de sa bouche. Elle me fit remonter à son niveau et me susurra à l’oreille : « Prends-moi… » Je n’eus pas le temps de réagir : elle prit ma bite et se l’enfonça dans le con. Je la pénétrai profondément sans la moindre résistance. J’étais au fond d’elle, au fond de la chatte de ma belle-sœur. Je commençai à la limer lentement mais elle me saisit par les fesses et m’enjoignit de la besogner plus fortement, ce que je fis sans ménagement. Je lui labourais maintenant la chatte. Le plaisir monta rapidement. Trop rapidement. Je m’arrêtai pour laisser la tension retomber. « Vas-y ! » me dit-elle. Je me retirai et la retournai. Elle se redressa et me présenta son cul que je devinais large. Mon sexe trouva l’entrée sans peine. Cette levrette que j’avais tant fantasmée était maintenant devenue réalité ...
... ! Le souffle de Justine s’accéléra, et de petits cris sortaient de sa bouche à un rythme de plus en plus soutenu. Elle enfonça de nouveau sa tête dans l’oreiller pour atténuer le son. Je m’interrompis plusieurs fois juste avant l’explosion. Au bout d’un moment elle se retira, me bascula sur le dos et s’empala sur mon chibre. Mes deux mains trouvèrent ses deux gros seins. Elle me chevaucha avec une énergie folle. On n’entendait plus que le bruit de ses fesses qui claquaient contre ma verge. Je ne pouvais plus rien retenir. « Je viens… » lui dis-je. Et alors que je pensais qu’elle s’arrêterait, elle accéléra le mouvement. Je sentis mon jus sortir par saccades et lui remplir la chatte. Elle se mit à crier et s’écroula sur mon corps. On resta un moment dans cette position, mon sexe toujours en érection. Je pouvais sentir mon liquide ruisseler sur mes couilles. Elle se releva et bascula sur le côté. Au bout de quelques minutes elle me dit : — Dommage que l’on ne puisse pas recommencer plus souvent. Sur ce, elle s’endormit. Le lendemain, elle retourna chez elle après la piscine. Depuis, plus rien ne s’est passé entre nous. Elle a rencontré quelqu’un peu de temps après, mais quelques sourires complices me font penser que si l’occasion se représentait, elle succomberait à nouveau.