L'abolition des privilèges, notre jeu de la nuit du 4 août - Histoires de Sexe

L'abolition des privilèges, notre jeu de la nuit du 4 août

... il en est content :

— Si j’avais perdu, il ne serait resté en piste que Nathalie, ma divine compagne, et moi. Nul privilège n’aurait donc été aboli. Je prends mes trois cartes et, ravissante Sophie, je dépose celle-ci :Sexe.

Sexe contre sexe, mais il ne doit pas y avoir pénétration. Nous achevons de nous déshabiller, il arbore une verge horizontale, légèrement recourbée vers le haut, avec un gland rouge et décalotté qu’il frotte contre mon minou qu’il entrouvre ainsi sans le moindre scrupule. Je suis trempée, et je le laisserais bien faire s’il avançait brutalement en moi, dans ce que j’ai de si profond et qui ne demande qu’à être défoncé. Il s’en rend compte et s’en amuse, ne pénètre qu’à peine, se retire, recommence… et s’en va :

— Un peu de patience, belle enfant… Bon, il ne reste plus que ma douce moitié et le petit Julien. Nathalie, tes trois cartes ! Julien, les tiennes !

Julien jette la carte :Langue. Nathalie, en éclatant de rire :Gland.

— Allez, Julien, à poil et laisse-toi faire.

Il semble ravi et j’en suis furieuse. Le voici nu en un instant. Nathalie quitte minijupe et slip et se jette à genoux devant la tige de Julien, en dégage totalement le gland d’un joli rose et lèche avec gourmandise. Quelques frémissements de ce membre ainsi traité l’avertissent qu’il lui faut cesser très vite. Elle se relève. C’était limite, il a failli jouir : dans un léger spasme sort une fine gouttelette transparente.

Nous sommes tous totalement nus. Nous regardons ...

... Olivier.

— Le jeu est fini mais la nuit commence. Il y a six chambres à l’étage et un cabinet de toilette au bout du couloir. Nous les garçons nous allons monter, nous installer chacun dans une chambre et attendre dans le noir. Des veilleuses éclairent légèrement le couloir, elle suffisent car les portes des chambres seront ouvertes et devront le rester. Les filles monteront une à une, toutes les trois minutes. Ce sont les dés qui décideront de l’ordre de priorité. Chacune aura donc le temps de faire son choix. La dernière… eh bien, la dernière aura ce qui restera. Mais qu’elle se rassure, il sera loisible à chacune de passer d’une chambre à l’autre, tout au long de la nuit. À très bientôt !

Les garçons nous quittent, certains précédés de leur phallus, sans complexe, d’autres le tenant appuyé contre leur nombril. Et disparaissent leurs fesses dans la cage d’escalier !

— Voici des préservatifs, dit Nathalie, prenez-en autant que vous voulez. Il est agréable, à mon avis, de faire l’amour dans le noir et en silence sans même savoir avec qui. D’autres filles préfèrent savoir, ou croient deviner. Au petit matin, on voit bien avec qui on a fini la nuit, et on a parfois une surprise ! Je me suis retrouvée une fois avec Olivier alors que j’étais sûre d’être avec un autre. Allez, les dés !

Ils roulent. Virginie montera avant moi mais je suis la deuxième. Delphine s’inquiète de savoir si, au cours de la nuit, certains garçons ne risquent pas d’être en panne.

— Bien sûr ...