La nuit où je t'ai partagée (1)
Datte: 12/11/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Swingme, Source: Xstory
Je me remémore souvent cette nuit-là. Aujourd’hui j’ai envie de l’immortaliser. Je la couche sur le papier, afin que nous puissions nous la relire de temps en temps…
Nous avions passé une très bonne soirée, à l’occasion de l’anniversaire d’une de tes amies ; le genre de soirées très sympa, sans prétention, où l’on passe d’un groupe à un autre, liant connaissance avec untel ou unetelle. La configuration des lieux aidait : la demeure des parents de ton amie était grande et subtilement architecturée, offrant aux invités une multitude de petits recoins pour s’assembler et discuter en toute intimité. Le bar familial était bien fourni. Bref, tout était réuni pour réserver d’excellents moments.
L’ambiance était d’autant plus décontractée que chacun savait pouvoir dormir sur place. L’organisation avait été parfaite, nous connaissions notre chambre et avions été présentés au couple qui la partagerait avec nous. Nous nous étions croisés quelques fois au cours de la soirée, avions échangé quelques mots, quelques sourires, quelques regards aussi.
A une heure avancée de la nuit, les invités commencèrent à se retirer, et fatigués, nous fîmes de même. La chambre était déserte, nous nous couchâmes rapidement. Quelques baisers de bonne nuit, et tu te lovas contre moi.
Nous étions à peine assoupis lorsque des bruissements se firent entendre, suivis de gloussements étouffés. Instinctivement, nous tendîmes l’oreille, analysant les bruits, tentant de visualiser, malgré le noir ...
... complet, les mouvements du couple voisin. Rapidement, il devint clair que ces mouvements n’étaient pas seulement destinés à se préparer pour la nuit. Les soupirs et les fluides échangés étaient parfaitement évocateurs.
Tu bougeas contre moi, je te répondis d’une caresse, nous étions tous les deux à l’écoute. Ta main se posa sur ma cuisse, la caressant avec légèreté, tandis que la mienne se glissait sous ton long t-shirt et le remontait, dévoilant tes fesses. Mes lèvres trouvèrent les tiennes, ta langue la mienne. Un gémissement plus fort que les autres s’échappa, suivi d’un « chuuuut » et d’un petit rire : nos partenaires tentaient vainement de masquer leurs ébats. Je ne pus m’empêcher de répondre tout bas par un bienveillant « je vous en prie, laissez-vous aller ». Un court silence suivit, avant l’invitation : « rejoignez-nous plutôt ! ».
Il est difficile de décrire ce qui peut traverser l’esprit d’un couple dans un moment comme celui-ci : interrogation, fébrilité, fantasme, tabou ? Des discussions ou rires passés aussi. Le temps sembla s’arrêter sur nos interrogations muettes, jusqu’à ce que ta main remonte sur ma cuisse et frôle mon sexe, comme un test de mon envie, de mon acceptation de l’idée. D’un doigt, je caressai le bas de ton dos. Et je te sentis te soulever sur tes bras, donnant le signal.
Une lumière tamisée apparut, et les voiles furent levés. Nous émergeâmes des draps, toi dans ton t-shirt blanc sans manches, moi nu comme un ver. Nos partenaires nous ...