1. Il me fait sentir femme (5)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: Transexuels Auteur: orgui, Source: Xstory

    Marie était repue, j’étais tellement occupée à lécher les couilles et la vulve de mes deux supérieurs que j’en oubliais le gode que Marie avait planté dans mon cul, il était ressorti de mon trou béant durant nos ébats. Elle se leva avec un sourire satisfait, elle me demanda de me mettre à quatre pattes et lécha mon sexe avant d’y enfoncer le gode. Ma nouille continuait de couler. Elle me fit un bisou sur chaque fesse, roula une pelle spectaculaire à mon maître puis se rhabilla...
    
    — Je laisse le second round ma belle... regarde, il bande encore.
    
    — Au revoir Marie, je te prête ma sissy quand tu veux, suffit de demander.
    
    — Oui, cette petite m’a donné des idées très perverses. Tchao !
    
    Nous n’étions que les deux.
    
    — Je vois qu’il y a encore un peu d’homme en toi.
    
    — Pourquoi ?
    
    — Tu bandes comme un cochon, ma chérie.
    
    — Quoi ? Je...
    
    — C’est marrant, elle avait ta verge entièrement dans ta bouche et tu restais mou, mais dès qu’elle a parlé d’idées perverses tu t’es mis à bander. Je t’avais prévenu, je remédierai à cela demain.
    
    J’eus un frisson en l’entendant parler. Il était déjà en moi et commençait à me culbuter, mon clito reprit sa taille normale... 2 ou 3 centimètres. Je haletais en sentant cette chaire coulisser en moi. Il ne parlait pas, il me baisait avec fermeté, mais sans grande passion... cette érection l’avait déçu, je m’en voulais.
    
    — mmh, je suis votre salope maître, désolé d’avoir bandé.
    
    Je me cambrais le plus possible et je bougeais mes ...
    ... fesses pour lui montrer mon contentement.
    
    — T’auras l’occasion de te faire pardonner et tu ne banderas plus, ne t’inquiète pas.
    
    Je ne savais pas ce qu’il préparait, mais je laissais une grande tâche de mouille sur le lit... il continuait à me besogner, au moins 45 minutes. Je ne sentais plus tellement ma chatte, juste du plaisir interne. J’étais si soumise à lui, si amoureuse.
    
    Il déchargea en moi et me bouchonna avec un plug. Je le nettoyai avec ma bouche, je remis une nuisette de nuit et je caressais ses bourses avec ma main avant de sombrer dans le sommeil.
    
    Lorsque je me réveillais, le lit était vide. Il n’y avait qu’une note sur la table de nuit :
    
    Je suis au travail, il faut bien que quelqu’un t’entretienne princesse. Dans l’armoire, il y a ta tenue du jour et une perruque blonde. Tu as déjà les cheveux longs, je sais... mais il y a aussi une tondeuse. Tu vas m’enlever tous ces cheveux, tu es ma poupée et je veux tu sois la salope que je veux chaque soir. Une fois que tu seras toute pouponnée (n’oublie pas les leçons de Marie) je veux que tu allumes l’ordinateur et que tu ailles dans les favoris. Il y a un dossier à ton nom. Il s’agit de liens vers des vidéos qui t’aideront à être dans le bon état d’esprit. J’ai une solution temporaire pour ta nouille, tu verras ce soir.
    
    C’était une tenue en cuir rose. Très sexy, absolument pas subtile. Je me regardais dans le miroir en blonde, avec ce maquillage... je bandais encore ! Je m’en voulais... Je regardais les ...
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