J'offre ma femme à notre fils (5) - Histoires de Sexe

J'offre ma femme à notre fils (5)

La nuit fut longue ; Ryan a tellement fait jouir sa maman qu’elle s’endort épuisée.

Le Lendemain, pendant le petit-déjeuner, ma femme toussote, le regard de Ryan et le mien se posent sur elle.

— J’ai bien réfléchi, ta proposition m’intéresse mon chéri, je veux bien faire un essai !

— Chouette maman, tu ne le regretteras pas, je vais vite organiser ça, je connais un couple très libre, physiquement ils sont pas mal (ce qui ne gâche rien) !

— Je suis inquiète, mais excitée à la fois, j’y peux rien, c’est ma nature qui est comme cela, rien que d’y penser, j’en suis tremblante !

Je suis ravi que ma femme saute le pas, je suis si heureux que j’ai l’impression que mon sang bout dans mon corps, depuis le temps que je rêve de la voir prise par d’autres, cela m’émoustille.

Je tente de la rassurer.

— Tout se passera très bien, tu verras, c’est une bonne expérience à tenter, je sais que tu te donneras à fond ma chérie !

Elle me regarde et me dit :

— J’ai un peu peur, tu crois que je serai à la hauteur ?

— J’en doute pas une seconde ma chérie !

— Heum, bon, si tu le dis !

Le rendez-vous est pris pour le week-end prochain.

La veille du jour choisi, ma femme n’est plus la même, elle s’angoisse, à plusieurs reprises, elle veut annuler le rendez-vous, je l’en dissuade à chaque fois.

Elle grommelle, tourne en rond.

Après le dîner, elle prend une douche et monte se coucher, je la rejoins, son sommeil est très agité, elle se réveille souvent, ...

... marmonne des mots inaudibles puis se rendort ; je laisse la lampe de chevet allumée.

Je glisse ma main sous sa nuisette et lui caresse doucement le ventre, ma main descend lentement, et atteint son antre brûlant ; étrangement, il est trempé.

Un filet de salive s’écoule à la commissure de ses lèvres, elle halète.

J’enfonce aisément trois doigts dans la grotte inondée, et la ramone doucement.

Ma femme ouvre les yeux.

Elle me retient la main et me dit :

— Oh ! mon chéri, je rêvais que je faisais l’amour avec le couple et que je prenais un plaisir d’enfer !

— Ah ! C’est pour cela que tu mouilles énormément !

J’ironise un peu en souriant :

— Ah ah, ma femme se fait sauter pendant son sommeil par d’autres, et en plus elle aime ça !

Elle baisse les yeux, et place sa main sur la mienne, elle lui fait faire quelques va-et-vient puis retire sa main ; j’ai compris.

Je continue un doux ramonage, elle grogne, se cambre, et jouis en étouffant son cri en se mordant le poignet.

La nuit s’achève ; apaisée, elle se rendort, son corps est trempé de sueur.

Le lendemain matin, elle se dirige vers la salle de bain, Ryan est sous la douche.

Elle entre, se plaque contre lui ; l’eau qui ruisselle sur son corps apaise la tension qui la ronge depuis quelques jours.

La main de son fils s’égare sur ses formes généreuses, elle soupire fortement lorsque deux doigts s’enfoncent dans son rectum, ils tournent en elle si bien qu’elle délire.

— Oui, mon chéri, fouille ...