1. Une rencontre à Paris


    Datte: 10/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Hardcore, Sexe Interracial Auteur: michelemimi, Source: xHamster

    J'adore le sexe. J'en use et j'en abuse et je suis gâtée avec Mon mari Alain et Christian un ami rencontré sur le net lors de mes vagabondage coquins.
    
    Lors d'une escapade à Paris , je me retrouve aux heures de pointes dans le métro. Collés les uns aux autres, je sens tout à coup une main sur mes fesses. Je me retourne en donnant une claque sur cette main inopportune pour remarquer un black grand sourire amusé de ma réaction vive. Puis il repose sa main d’autorité et se met à me malaxer les fesses ostensiblement. Je savais qu'il y avait des frotteur aux heures de pointes et là j'en suis la victime. Je ne sais trop quoi faire, descendre à la prochaine station, faire un scandale ou me laisser faire. Pendant tout le trajet jusqu'à la Porte de Versailles, voyant que je ne réagis pas, il me pelote outrageusement. Malgré moi je sens que je mouille. A la Porte de Versailles, je sors précipitamment de la rame et m’engouffre dans le salon de la lingerie. En jetant un œil derrière moi, je suis rassurée de voir qu'il ne me suit pas.
    
    Dans les allées du salon, en mettant ma main dans mon sac, je tombe sur un papier chiffonné. Je le sors, le déplie et quelle est ma stupéfaction de lire un numéro de téléphone. Au lieux de le jeté, je le remet dans mon sac et continue la visite.
    
    Le soir, de retour à mon hôtel rue Saint Lazare, je prends une bonne douche pour me délasser et m'allonge nue sur le lit. Je repense à la mésaventure du métro en tripotant le bout de papier où se trouve le ...
    ... numéro de téléphone du jeune black frotteur. Trop curieuse, je compose le numéro en mode privé pour qu'il n'ai pas le mien. Une voix grave envoûtante me répond :
    
    « Allo ? Qui est à l'appareil ? »
    
    Surprise et troublée, je bredouille :
    
    « Je suis la femme du métro. »
    
    « A oui ! C’est toi la chienne qui se laisse tripoter par n'importe qui dans le métro ! Tu veux goûter du black ? Alors 10 heures demain, 72 rue Doudeauville ! »
    
    Puis il raccroche. Je sais que c'est un quartier où une femme seule ne doit pas trop traîner. Mon sommeil est agité et j'y pense toute la nuit. Se serait une folie de me rendre à tel rendez-vous. Fébrile, le lendemain, comme attirée par un aimant, je me rends au rendez-vous. Je monte dans l'escalier miteux et frappe à la porte. Le grand black m'ouvre avec un large sourire. Il me fait entrer et au passage me donne une grande claque sur les fesses qui me fait sursauter. Il referme la porte derrière moi et la verrouille. De sa voix grave il me dit :
    
    « Alors comme ça la provinciale veut goûter du boudin noir ? Fous-toi à poil salope ! »
    
    Mécaniquement, j'obéis et me déshabille devant cet inconnu. J'ai honte de me laisser faire aussi docilement mais je suis super excitée. Il tourne autour de moi et me détaille comme de la marchandise. Puis il me dit :
    
    « T'as pas honte d'être une grosse chienne à black ? Une salope comme toi mérite une punition ! »
    
    Il m'allonge de force sur ses genoux et commence à me fesser. Je gesticule sous les coups et ...
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