1. Quelques unes de mes aventures : le déclic


    Datte: 10/11/2019, Catégories: fhh, 2couples, fffh, fhhh, grp, fplusag, extraoffre, inconnu, nympho, grossexe, grosseins, collection, vidéox, BDSM / Fétichisme facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, hdanus, Partouze / Groupe init, Humour extraconj, Auteur: Jeuxentreadultes, Source: Revebebe

    ... expliquai que ma femme n’appréciait pas, qu’elle ne savait pas ce qu’elle ratait.
    
    Ce fut la seule et unique fois où nous couchâmes ensemble. Le snack où elle travaillait ferma pour cause de mal-gérance du patron, son mari fut muté, j’appris qu’elle divorça peu de temps plus tard et revint dans la région. Je l’aperçus dans un commerce, à la caisse, nous échangeâmes quelques mots gênés, elle s’était remariée. Et je l’ai revue il y a quelques semaines, dans mon nouveau boulot, avec ses deux enfants. Je pense qu’elle m’a reconnu, j’espère la recroiser un de ces jours, peut-être pourrais-je l’inviter à dîner ?
    
    En quelques mois, après mes deux rencontres tarifées et ma petite rousse, j’avais fait plus l’amour en-dehors de la maison qu’à l’intérieur…
    
    Quelques mois plus tard, j’étais en formation de longue durée. Des cours très poussés, nécessitant beaucoup d’étude le soir, car il y avait de nombreuses matières et des tests réguliers. Je logeai donc sur place, avec plusieurs de mes collègues, dans un bâtiment racheté à la défense et composé de plusieurs petites chambres. Parmi ces collègues, l’un travaillait comme barman dans un club échangiste, un second était un véritable obsédé sexuel. Tout naturellement, le premier invita le second à venir visiter le club, et je me retrouvai (houlàlà, il a fallu me pousser fort ! Vous me croyez ?) dans leur escapade, un mercredi soir.
    
    C’était un tout petit club, et étonnamment il y avait pas mal de monde pour un jour de semaine. ...
    ... Parmi les convives, quelques couples (dont des « inactifs », j’expliquerai plus loin) et quelques hommes seuls. L’ambiance était déjà très érotisée, tout le monde se promenait en dessous, un ou deux couples se mélangeaient dans les canapés à côté de la piste de danse, une belle grande blonde mature à la poitrine impressionnante branlait deux types assis au bar, tout en continuant une conversation anodine avec la barmaid. Mon copain barman nous expliqua que les alcôves étaient à l’étage, et après passage au vestiaire, nous fîmes une visite des lieux. Deux alcôves dotées de matelas formaient des surfaces de jeux pour les partouzes, une autre alcôve était plutôt privée avec une porte qui ferme, mais des petites fenêtres permettaient de mater. Alors que ces alcôves étaient éclairées d’une lumière tamisée, une dernière petite alcôve était plongée dans une quasi-obscurité, et son accès se faisait par un trou au ras du sol dans une cloison en bois, cloison d’autre part percée de plusieurs trous plus petits placés plus haut, à des hauteurs facilitant le passage d’une verge. Un glory-hole, m’expliqua-t-on, permettant à des femmes (parfois des hommes) particulièrement gourmandes, de sucer tout ce qui se présentait par les trous, sans pouvoir savoir à qui appartenait l’engin. J’appris qu’on y organisait des concours de suceuses, car ceux qui présentaient leur membre ne pouvaient pas non plus voir qui était en train de leur prodiguer une gâterie.
    
    Au bar, notre copain nous présenta la ...
«1...345...9»