1. Ce n'était pas Plazza (2)


    Datte: 09/11/2019, Catégories: Divers, Auteur: lubrique, Source: Xstory

    ... dans ma tête, un doute s’installa quant à la possibilité de s’amuser avec lui, c’est à peine s’il s’était rincé l’œil sur nos cuisses.
    
    C’est vrai que, même si nous l’intéressions sexuellement ( ? ), il devait être délicat pour lui de tenter une approche avec l’une ou l’autre. De plus, l’appartement était encore habité, peut-être avait-il peur d’un retour des proprios.
    
    Dans la chambre, ma gredine de sœur enclencha le turbo, elle a commencé à se plaindre qu’il y faisait froid, qu’on sentait un courant d’air.
    
    Devant l’étonnement ( à juste titre) de Monsieur X, elle releva à nouveau sa robe et lui dit de regarder comment elle avait la chair de poule.
    
    Incrédule, il ne répondit rien (mais regardait fixement), alors elle s’approcha de lui et lui saisit une main qu’elle alla déposer sur sa cuisse en lui disant: " Vous voyez bien que je ne mens pas, ma jambe est froide ". Il ne bronchait pas, mais n’en laissait pas moins sa main.
    
    — Moi aussi je ressens le froid, dis-je en m’avançant presque contre lui et en écartant les pans de ma jupe, venez sentir ma peau également.
    
    On se serait crues dans un vieux porno, sauf qu’il n’était pas plombier et que c’était nous les vicieuses.
    
    Comme il n’osait pas venir à mon contact, j’ai détaché ma jupe et l’ai laissée tomber sur mes pieds, ensuite j’ai remonté mon crop-top et mon soutien-gorge ...
    ... au-dessus de mes seins.
    
    Ma sœur a alors pris la parole, lui avouant que nous n’étions pas intéressées par l’appartement, mais par lui.
    
    Il a balbutié quelques mots que je n’ai pas compris, puis il a dit que ce n’était pas possible, car il ne savait pas à quelle heure les propriétaires revenaient.
    
    — Qu’importe, c’est encore plus excitant.
    
    En moins de 2 minutes, elle et moi étions nues, allongées sur le lit des gens et nous embrassant et caressant.
    
    Il nous regardait, ne bougeait pas, alors je lui ai demandé s’il venait nous rejoindre ou si nous devions le violer.
    
    Je l’ai pris par la main et l’ai attiré à nous, le faisant tomber sur le lit.
    
    Enfin ! Il s’est décidé et m’a embrassée. Alors que nos langues se mêlaient, sœurette a entrepris de le déshabiller.
    
    Je dois dire que son corps était mieux nu que vêtu, un peu rondouillard, mais ferme. Son sexe de bonne dimension et que ma sœur se dépêcha de faire durcir en le branlant.
    
    — Si on m’avait dit que je vivrais ça, je ne l’aurais jamais cru.
    
    Ma bouche a quitté la sienne et je l’ai remplacée par ma petite chatte, assise sur son visage, je regardais ma sœur qui, maintenant, était occupée à garnir son membre d’un préservatif. Directement après, elle le fit disparaître entre ses lèvres, allant et venant, le sortant parfois pour jouer de sa langue autour du gland.
    
    A suivre 
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