1. Je découvre que ma mère est une cochonne, adepte de pratiques SM (3)


    Datte: 09/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tardemars, Source: Xstory

    ... s’échapper ma queue qui jaillit comme un diable hors de sa boîte, toute droite et dure.
    
    Je me positionnais entre ses jambes. La croix était fixée à une hauteur de 80 centimètres du sol, pile à hauteur de ma queue. La position idéale pour baiser ma mère. J’approchais ma bite de sa vulve déjà ouverte et je poussais un peu. Elle glissa à l’intérieur avec une facilité désarmante. Je poussais encore... Quel bonheur !
    
    J’entamais alors des va-et-vient réguliers, avec un plaisir qui augmentait à chaque mouvement. La sensation de mon gland qui glissait dans cet environnement chaud et humide était succulente. Je variais les rythmes, rapide ou plus lent, m’appliquais, ressortais ma queue pour l’admirer, si droite, si dure, dégoulinante de la cyprine maternelle. Puis je la rentrais à nouveau avec délice. Si ça n’avait dépendu que de moi, je me serais allé à jouir, là, directement. Mais je savais que ma mère avait des exigences assez importantes en matière de sexe. Il fallait assurer avec elle ! Elle voulait en profiter. Et si elle acceptait de faire ça avec moi, elle exigeait en retour que je m’applique. Le plaisir était cependant trop important. Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps. Peut-être ma mère a-t-elle alors senti que je ralentissais.
    
    — Léo, va attraper le gode qui est dans le carton. Ton sexe est gros, mais j’ai envie d’un truc encore plus gros. J’ai envie que tu me défonces vraiment avec ce gode.
    
    J’allais alors dans le carton où ma mère rangeait ses ...
    ... objets SM. Je sortais un gros gode en plastique noir, énorme, tout nervuré, à l’image d’un vrai sexe d’homme, en beaucoup plus gros.
    
    — Maman, je vais pas te mettre ça, c’est trop gros !
    
    — Si, vas-y ! Prends ce tube, là, c’est une sorte de vaseline, ça va aider. Et même si j’ai mal, n’arrête pas !
    
    J’étais vraiment impressionné. Le machin était gros comme mon bras. J’étalais la vaseline sur le gode, le rendant tout glissant, et je le positionnais à l’entrée de la vulve ouverte de me mère. Je poussais. Au début le gode restait bloqué à l’entrée, mais petit à petit il écarta les lèvres. Je poussais un peu plus, et il pénétra doucement.
    
    — Aïe !
    
    — Ça fait mal, maman ?
    
    — Ne t’occupe pas de ça, j’ai dit. Pousse !
    
    Visiblement la douleur était conséquente. Ma mère grimaçait, et j’avais mal pour elle. Sa vulve était complètement distendue, déformée. L’objet rentrait petit à petit mais j’avais peur d’un déchirement.
    
    — Pousse, Léo ! Plus fort !
    
    Le truc était énorme. Mais je le rentrais d’un coup. Il pénétra entièrement dans l’orifice distendu. Quel miracle de voir cet engin énorme entrer en totalité à l’intérieur de ma mère ! Je le bougeais dans tous les sens, arrachant de nouveaux gémissements à ma mère. Elle frémissait, entre plaisir et douleur. Lentement le gros engin noir commençait à se recouvrir d’une cyprine blanche. C’était stupéfiant, je n’en avais jamais vu autant...
    
    — Dis-le-moi, Léo !
    
    — Que je dise quoi, maman ?
    
    — Que je suis une salope. ...