Médecin de campagne
Datte: 09/11/2019,
Catégories:
fhh,
grp,
cocus,
médical,
fête,
fsoumise,
massage,
Oral
préservati,
fsodo,
hsodo,
Partouze / Groupe
attache,
exercice,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... une fonction bien précise. Elle aussi utilise de l’huile, mais c’est en la faisant couler largement sur le dos et l’étaler grassement. Très vite, la peau luit dans le clair-obscur de la pièce. Parfois les mains se rencontrent sur les fesses, et l’huile que la femme a étalée continue son chemin, reprise par les mains de l’homme.
Depuis un moment déjà, il masse d’une façon beaucoup plus érotique, ses mains remontant très lentement vers les fesses qu’elles finissent par atteindre, mais sans s’y attarder. L’homme s’occupe des reins et du bas du dos ; la femme masse les flancs et glisse sur le côté de la poitrine pour flatter les lobes écrasés sur la table.
J’ai l’impression que Ludivine voudrait pouvoir offrir plus à ces caresses, mais ses bras tendus et immobilisés l’en empêchent. Ce n’est pas le cas de ses jambes qu’imperceptiblement, sous la décontraction du massage, elle a dû relâcher.
Maintenant, le couple de masseurs et la femme allongée sont entourés par les spectateurs. Nous nous sommes rapprochés, silencieux et voyeurs. Il ne reste que la place pour que les officiants évoluent.
De temps en temps, les mains reviennent sur les fesses, les écartent mais sans exagération, repartent vers les cuisses, reviennent, et repartent vers les reins à la plus grande satisfaction de Ludivine qui pousse de discrets petits soupirs de satisfaction étouffés par la serviette de bain qui recouvre la table d’examen.
Laure profite de ces instants pour faire couler un peu plus ...
... d’huile dans le sillon des fesses.
Est-ce mon imagination ? Mais maintenant on peut voir la petite corolle plissée et sa fente. Pendant que la femme enduit les fesses et les écarte, l’homme glisse ses doigts dans le sillon pour entraîner le liquide et lui faire atteindre le moindre recoin.
Ludivine cambre ses reins sous ces caresses. Je suis certain que n’importe quel homme de l’assistance n’a qu’une envie : venir posséder ce petit cul ou cette chatte que le liquide rend brillants, accentuant encore plus le rose des chairs.
La main vient maintenant se plaquer sur les fesses, le pouce vers le bas. Comme dans un film au ralenti, il suit le sillon qu’on imagine glissant et devient maintenant un moignon, privé de sa première phalange. Mais cette phalange n’est pas perdue pour tout le monde. Au tressaillement de la femme, je comprends qu’elle est entrée dans son petit trou ; d’ailleurs, Thomas fait tourner sa main et, comme un tire-bouchon se visse dans la bouteille, son pouce se vrille dans le cul au point de disparaître entièrement. Il le tourne et pistonne, extirpant des cris à la femme. Ses cris, étouffés, ne sont pas des cris de douleur. Un pouce n’est rien, surtout que l’huile a fait de l’orifice un chemin glissant, telle la gravité pour un trou noir.
Pendant tout ce temps, la masseuse continue son travail et ne se gêne pas pour lui écarter les fesses, montrant au regard de tous l’œuvre de l’enculeur. L’homme replace la main à plat, toujours planté dans l’anus ; et ...