1. Médecin de campagne


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fhh, grp, cocus, médical, fête, fsoumise, massage, Oral préservati, fsodo, hsodo, Partouze / Groupe attache, exercice, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... fait le lien entre Marie et moi. C’est normal car elle porte son nom de jeune fille ; et comme nous habitons le village voisin, peu de gens savent ici que nous sommes mariés.
    
    J’avais oublié cette consultation, mes patients n’ayant plus fait appel à mes services. Par contre, Marie avait fait affaire avec eux et régulièrement me parlait des projets en cours.
    
    Ce samedi-là, nous revenons de la ville, soirée cinéma et repas en amoureux, lorsque je reçois un appel. C’est justement la femme qui me parle d’un ami qui ne se sent pas bien. En temps normal je lui aurais conseillé le médecin de garde, mais comme nous n’étions qu’à quelques kilomètres j’accepte de passer. Heureusement, j’ai toujours mon matériel dans mon coffre.
    
    Marie reste dans la voiture que je ne peux pas garer devant car beaucoup d’autres véhicules stationnent. C’est la femme, Laure, en peignoir, qui m’accueille. En la suivant, je constate que si elle est en peignoir, par contre elle porte des bottes. À l’étage, elle m’ouvre la porte d’une chambre et je découvre l’homme allongé sur un lit. En chemin elle m’a raconté ce qui s’est passé : un ami s’est trouvé mal, mais avec juste une perte de connaissance de quelques secondes.
    
    Quand je dis un homme allongé, en réalité je ne vois pas son visage car il porte un masque et son corps est sous un drap. Il n’est pas nécessaire de me faire un dessin pour m’expliquer ce que l’homme faisait avant d’avoir son malaise. Du lit pendent des menottes ; au sol gisent des ...
    ... vêtements, et lorsque je soulève le drap je constate qu’il est nu, et même que sur un côté un sextoy traîne, un sextoy du genre gode-ceinture.
    
    Laure sourit lorsque je repousse l’objet pour mieux examiner mon patient. Il ne va pas si mal ; certainement un petit malaise vagal, pas plus. Je rassure Laure et lui aussi, et les engage à consulter demain plus sérieusement.
    
    En redescendant la femme ne cesse de me remercier de m’être déplacé, que les conditions étaient un peu embarrassantes et qu’elle ne voulait pas vraiment un inconnu.
    
    — Vous ne voulez pas rester un peu ? me dit-elle avec une lueur dans le regard qui en dit long.
    — Non, merci.
    
    Et je ne sais pas pourquoi j’ajoute, comme si son invitation n’était qu’une invitation classique, car bien sûr je sais ce qui s’est passé et même continue peut-être (j’ai entendu de la musique et des rires en passant au rez-de-chaussée) :
    
    — Une autre fois, peut-être…
    
    Décidément, je m’enfonce. Pour couper court, j’ajoute :
    
    — Ma femme m’attend dans la voiture.
    — Ah… Cela signifie que si vous étiez seul vous seriez resté ?
    — Je suis médecin et en consultation ; donc en service, en quelque sorte.
    — Mais appelez votre femme. Nous serons heureux de faire sa connaissance.
    — Je ne pense pas que ma femme soit attirée par le type de soirée que vous proposez.
    — Alors là, Marc, vous me permettez de vous appeler par votre prénom ?
    — Je vous en prie.
    — Vous parlez en son nom, mais que savez-vous ? Peut-être qu’elle en rêve et n’ose ...
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