1. Des vacances bouillantes (5)


    Datte: 18/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: santiano33, Source: Xstory

    ... relève mon visage, me fait un sourire puis je me redresse sur mes coudes.
    
    Elle se recule afin de me laisser monter sur le lit. Je me positionne entre ses cuisses, la bite dressée comme jamais. Je me frotte contre son clitoris, puis de sa main me dirige afin de la pénétrer. Comme la veille, je savoure le moment quelques instants, mais très rapidement, je me reprends et décide d’être beaucoup plus entreprenant.
    
    Je commence à la limer avec douceur, puis accélère la cadence. Elle me chuchote qu’elle apprécie cette prise d’initiative. Cette phrase est provocante, elle accentue mon envie de bien faire.
    
    Après l’avoir prise en missionnaire, je la positionne à quatre pattes. Je la prends en levrette, moi qui aime avec passion son fessier, je suis gâté. Je m’accroche à ses hanches et lui claque les fesses dès que je le peux. Le lit fait un peu de bruit, on décide de se mettre sur le sol. Je reprends cette position que j’affectionne tant.
    
    Cette fois-ci, je me permets d’être beaucoup plus bestial. Ayant un peu mal aux jambes, je m’allonge sur le dos. Elle s’empale sur moi, et me chevauche comme une furie. Elle monte et descend sur mon pieu à une vitesse incroyable. Tout à coup, elle grogne, son bassin se contracte et elle expulse de la cyprine sur mon membre.
    
    Je ne sais pas ce qui me prend, mais j’ai envie de goûter à ce breuvage. Je saisis ses jambes, la dirige vers ma bouche et lui lèche son abricot avec une envie dévorante. J’en profite pour lui mordiller le clitoris. ...
    ... Visiblement, c’en est trop. Elle pose ses mains autour de ma tête, la bloque, je garde les lèvres ouvertes et reçois une quantité de cyprine incroyable.
    
    Ma cousine vient de jouir comme jamais. Elle s’est allongée sur le dos, je prends possession de son corps en missionnaire. Avec l’état d’excitation dans lequel je suis, je ne tarde pas à jouir dans son vagin.
    
    Nous sommes essoufflés comme si nous avions couru un marathon. Nous remontons sur le lit, elle me câline et me félicite. Louise me dit même qu’elle n’avait jamais connu d’amant aussi bon. Cette phrase me rend heureux. Ma cousine me conseille tout de même d’aller faire un brin de toilette au niveau de ma bouche. Je souris à cette remarque.
    
    À pas de loup, je marche dans le couloir accède à la salle de bain, je me rafraîchis puis à mon retour, je m’aperçois que la lumière de la pièce de vie est allumée. J’y vois Gérard et Mathieu en pleine discussion.
    
    Mon oncle ce salaud, explique clairement au propriétaire des lieux qu’il arrivera à se taper Karine. Je le dis selon ses mots. Le garçon des lieux lui explique que cela n’est pas correct. Il avoue que ma belle-mère est une jolie femme, mais qu’elle n’est pas un objet sexuel.
    
    Gérard rétorque aussitôt en expliquant à ce dernier ce qui s’était passé au bord de la rivière. Mathieu reste muet face à cette révélation. Ils finissent de boire une bière, puis mon oncle continu son monologue en expliquant un plan pour obtenir ce qu’il souhaite.
    
    Je m’empresse d’aller ...