Les bonheurs de Sophie (6)
Datte: 08/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Modianorouge, Source: Hds
... damnée à jamais. »
Il accompagne l’avant dernière sentence d’un coup puissant de badine dans le creux de sa main. Et il conclut en la levant, prêt à l’abattre sur les délicats nichons :
« Tu veux que je t’aide à franchir le pas ? »
Sophie honteuse vient de baisser sa culotte sur les genoux. Elle se détourne, biaise pour protéger son intimité. Mais le profil n’est pas dénué d’intérêt. La rondeur prononcée de la croupe répond, dans un contraste saisissant, à une cambrure de rein tout aussi avantageuse, on entrevoit la toison noire assez fournie typique des brunettes ; l’arôme acide de l’urine rajoute une note d’animalité sexuelle. Phil n’en oublie pas une considération émue pour les mamelles fières qui gardent le cap et il se promet qu’après la douche, il badigeonnera à nouveau les tétons striés par les coups de lanière avec la crème cicatrisante. Pour ôter sa culotte, Sophie est bien obligée de pencher son arrière train, puis, elle lève la patte ; les cuisses corsetées de noir (les collants auto-fixant s’arrêtent à quelques centimètres de la fourche) s’arriment au bassin et l’ensemble baigne dans la fécondité ; la retenue des gestes ne freine pas la pleine expression de sa nature femelle, et, bien malgré elle, cette pondération focalise l’attention sur le postérieur qui s’impose au regard de l’étalon en rut à croire, avant qu’elle ne se redresse, qu’elle le tend à la saillie. Et elle a commis l’erreur d’enlever la culotte avant les collants. A nouveau, elle se ...
... contorsionne, se plie pour dégainer ses gambettes. Il se délecte de cette grâce empruntée. Certes, elle reste de profil, arrive encore à dérober son anus, de même, la perspective sur le con n’est que partielle, il n’empêche, elle ne peut cacher qu’elle est un être pleinement orificiel.
Evidemment, il ne lui permet pas de fermer la porte de la douche. Elle doit se laver devant lui. Elle s’exécute rapidement sans même user de savon. Elle ne se délasse pas, ne s’offre pas au jet. L’eau ruisselle pourtant en cascade sur ses courbes, dégouline de sexualité sur ses épaules et ses belles mamelles, arrose abondamment la fascinante fleur aux pétales de chair closes qui pousse au cœur de son épaisse toison noire, inonde son cul, ses cuisses, bref se répand sur tous ses organes torrentiels qui promettent tant de plaisirs torrides.
L’eau chaude l’a-t-elle quand même un peu détendue ?
Bras serrés devant ses seins et mains en coupe sur sa chatte, elle s’extirpe de la douche. Il l’accueille avec un drap de bain :
« Approche ».
Et il se plaque à son dos, appuyant son engin contre l’arrière train épanoui, il l’enroule, dans le drap, la frictionne pour qu’elle n’attrape pas froid.
« Tu préfères être toute propre n’est-ce pas ? ».
Puis, il retire le drap, dévoile la merveille. Elle est maintenant entièrement nue. Remet maladroitement les mains devant son sexe. Il ignore le geste de pudeur, s’empare du tube de crème apaisante et va s’employer à généreusement badigeonner les tétons ...