1. Lectures érotiques (3). Au bonheur des femmes infidèles : récits / Sam Carroll.


    Datte: 08/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... Tout en accrochant le manteau dans la penderie, je dis :
    
    - Quelle douceur que cette peau d'agneau rasée, c'est presque de la soie.
    
    - Oui, j'aime beaucoup cette peau ; je suis heureux qu'elle vous plaise et, surtout, de voir que vous êtes sensible à sa douceur.
    
    - Ah ! C'est l'une de mes faiblesses, peut-être.
    
    - Mais c'est très bien, cela prouve que vous êtes une femme de goût, et sensuelle aussi. Que demander de plus ?
    
    - Voyons, Henri, essayez-vous déjà de me séduire ?
    
    - Vous savez, Anne, dit-il, je ne serais plus moi-même si je restais impassible devant une femme aussi belle que vous. Permettez-moi, Anne, avant d'aller rejoindre votre mari et vos invités, d'admirer cette robe qui vous va à merveille, et le corps sublime qu'elle dissimule à peine.
    
    J'avais choisi ce soir une robe en mousseline grise très élégante que Jean m'avait offerte et qui m'arrivait bien au-dessus du genou, ce qui allongeait mes jambes déjà longues. J'avais décidé de la porter parce qu?elle me rendait très sexy et que Jean l'aimait beaucoup. Un peu resserrée à la taille, le haut se fermait avec plusieurs boutons à pression invisibles qui permettaient de laisser le décolleté aussi ouvert ou fermé qu'on le souhaitait. Comme nous étions chez nous, j'avais laissé les deux premiers boutons ouverts, ce qui dévoilait généreusement le haut de mes seins, d'autant plus que les demi-balconnets passaient juste au-dessous des pointes. Quand je me tenais debout, on voyait seulement le haut de mes ...
    ... globes mais, si je me penchais et que l'on regardait dans mon décolleté, on pouvait voir parfaitement la masse de mes seins dénudés. Et, bien sûr, j'avais mis des bas gris diaphanes avec une très légère guêpière et un string à petit volant, gris aussi. J'étais sûre en m?habillant ainsi de faire très plaisir à Jean quand, plus tard dans la soirée, il trouverait comme d'habitude l'occasion de venir vérifier ce que j'avais choisi à son intention.
    
    Ce que je n'avais pas prévu, c'est qu'un autre homme voudrait lui aussi admirer ce que je portais et que j'aurais tout de suite envie de le laisser faire.
    
    Je retirai donc ma main de la sienne et, avec un large sourire, je fis rapidement un tour sur moi-même, ce qui fit voleter bien haut ma robe et lui permit évidemment, comme je le souhaitais malgré moi, de voir le haut de mes bas et de mes cuisses, ainsi que les attaches de mon porte-jarretelles. À la fin de cette virevolte, je m'arrêtai devant lui.
    
    - Eh bien, Marilyn Monroe n?aurait pas fait mieux, je crois.
    
    - Absolument, dit-il, et je suis totalement admiratif.
    
    Sur ces paroles, il me prit la main et me tira légèrement vers lui, ce qui me fit me pencher un peu. Et il regarda franchement dans mon décolleté ! Il avait une vue plongeante sur mes seins dont il pouvait apprécier la chair gonflée et voir les pointes déjà tendues. J'étais gênée d'être dans cette position devant lui et voulus immédiatement me relever, mais il résista et me tint fermement penchée vers lui. Je ...
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