1. Dans la jungle (1)


    Datte: 08/11/2019, Catégories: Trash, Auteur: TheSilentBreath, Source: Xstory

    La respiration haletante, je m’échappai enfin, caché parmi les fougères de l’île. J’en croiserai d’autres c’est certain, il ne reste seulement qu’à ne pas me faire prendre. J’avançai, accroupie, toujours de buisson en buisson en longeant la route pour ne pas me perdre dans l’immensité de l’île.
    
    Mon pantalon beige, large à la manière des treillis militaires et mes rangers me permettaient de progresser sans me blesser dans les ronces sauvages. Mon t-shirt noir laissait deviner ma poitrine libre, dont le tissu frottait contre la pointe de mes seins, les faisant ressortir. Je portais une petite hachette à ma ceinture que j’avais prise à un de ces gars pour me défendre dans le cas où j’aurais à le faire. Un petit nombre d’animaux sauvages avait croisé ma route depuis le début de mon périple et aucun ne m’a véritablement repéré, je n’avais par conséquent, pas encore usé de mon arme.
    
    Un bruit arrivait de loin derrière moi, se rapprochant à une vitesse folle. C’était le moteur d’une de leur jeep, puisqu’il n’y avait qu’eux sur cette partie de l’île. Je restais accroupie, j’hésitais même à me coucher totalement dans l’herbe mais il était désormais trop tard pour faire un seul mouvement. La jeep passa devant moi. Ils étaient trois dedans: un au volant et deux autres qui guettaient à l’arrière. Ils ne m’ont pas vue, heureusement pour moi. Mais ils devaient sûrement me rechercher parmi ceux qui se sont échappés.
    
    Je continuai ma lente progression, je ne savais même pas où ...
    ... j’allais. Un rire s’éleva dans les airs et une voix l’accompagna. Je me collai contre un arbre, dans un buisson à feuille douce qui me caressait la peau. J’entendais des bruits de pas qui se rapprochaient, leurs bottes en cuir qui s’enfonçaient dans les graviers. Ils ne parlaient plus, mais j’entendais toujours leurs pas qui arrivaient dans ma direction.
    
    Un premier passa devant moi, l’arme dans le dos, d’un pas sûr et décisif, semant son coéquipier d’une dizaine de mètres. Le deuxième dépassa l’arbre où j’étais caché de quelques mètres puis se retourna dans ma direction. Merde, j’étais foutue. Un foulard couvrait sa tête et sa bouche, j’apercevais avec peine ses yeux depuis mon emplacement, impossible de dire s’il m’avait vu. Il s’approcha de l’arbre à côté de moi. Il défit sa ceinture et descendit sa braguette. Il fourra ces mains dans son caleçon en continuant d’avancer et sorti son membre juste devant moi. Au dernier moment il se stoppa net, il venait de me repérer.
    
    Et merde, les prisonniers qui s’échappent, ils les achèvent à vue et la menotte accrochée à mon poignet ne peut que l’inciter à le faire. Je dus réagir vite pour éviter tout conflit.
    
    J’attrapai de ma main menottée son sexe toujours sorti que j’engouffrai dans ma bouche. Il me regardait avec de grands yeux sans avoir pu faire aucun mouvement et se laissa finalement faire. Lorsque je rabaissai mes yeux, je vis que son membre était déjà bien gonflé de désir. Alors je recommençai. Je pris son érection en main et ...
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