1. Denise


    Datte: 08/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Première fois Auteur: namio-havana, Source: xHamster

    ... me sentais coupable de ne pas avoir été à la hauteur de ses exigences. Le comble de la perversité de cette situation, c’est qu’une fois rhabillé, c’est moi qui l’implorais en sanglotant, de ne rien dire à ma mère.
    
    J’étais devenu prisonnier de cette femme, et je la voyais jouir intérieurement de l’emprise qu’elle avait un peu plus chaque jour sur moi. Mais je n’en souffrais pas, bien au contraire, j’éprouvais un grand bonheur à cette domination grandissante car seul, comptait pour moi, sa présence à mes cotés.
    
    Tout en elle me plaisait. Je ne cessais de l’observer avec gourmandise et recherchais en permanence sa proximité afin de me perdre dans son parfum naturel qui m’enivrait. Tout ce qui pouvait me plonger dans l’intimité de cette femme était devenu une obsession. Dès mon retour de l’école, et au lieu de m’atteler à mon travail, j’avais pris l’habitude de me diriger vers le placard ou elle rangeait ses chaussures. Je savais que je n’avais que quelques minutes pour cela mais je savourais de sentir l’intérieur de ses escarpins d’où se dégageait une délicieuse odeur, mélange de cuir et du parfum de ses pieds. Cela me mettait dans un d’excitation indescriptible.
    
    J’attendais ce moment avec impatience et ne cessais d’y penser toute la journée, même si je ne disposais que de quelques minutes que je faisais durer chaque jour un peu plus, ma hantise était que Denise ne rentre plus tôt qu’à son habitude et qu’elle me surprenne le nez dans ses chaussures.
    
    Bien entendu, ce ...
    ... rendez-vous quotidien me faisait prendre du retard dans mon travail et donnait toutes les opportunités à Denise de me fesser dès son retour. Là encore, et sans doute d’avantage qu’auparavant, j’acceptais la punition car je savais très bien ce que j’avais à me reprocher car je savais que ce que je faisais était anormal.
    
    Le temps passant, ma soif de découverte ne faisait qu’augmenter. C’était plus fort que moi, j’avais maintenant franchi le seuil de la chambre de Denise pour m’immerger un peu plus dans son intimité. J’avais trouvé assez aisément l’endroit où elle rangeait ses sous vêtements. Ce qui me rendait dingue, c’était de renifler ses collants et ses bas car j’avais remarqué qu’elle ne les lavait pas systématiquement à chaque fois qu’elle les avait portés, sans doute pour éviter de les abimer.
    
    Un soir, alors que j’étais occupé à me remplir les narines des effluves de Denise, la porte de la chambre s’ouvrit brutalement. Elle était rentrée plus tôt que d’habitude et me prenait les doigts dans la confiture !
    
    « Qu’est ce que tu fais dans ma chambre en train de fouiller dans mes affaires ? » me hurla t elle en m’assenant une gifle magistrale à me décrocher la tête.
    
    Alors qu’elle m’empoignait par les cheveux, elle saisit les collants que j’avais déposés sur le sol et me les plaqua sur le visage.
    
    « Ca t’excite, dis moi, de renifler mes affaires mon cochon ? Elle va être ravie d’apprendre ça ta maman. Parce que ne t’imagines pas que je vais le lui cacher. Je lui ...
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