1. Sublimation


    Datte: 08/11/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail voiture, entreseins, Oral pénétratio, fantastiqu, Auteur: Balou, Source: Revebebe

    ... Mais combien êtes-vous ?
    — Nous nous sommes transformées au fil des siècles. Nous ne mangeons plus, ni ne buvons les aliments terrestres. Seule la laitance nous permet de vivre. En fait, je pense que notre corps a subi une mutation sous l’atmosphère terrestre. Le nombre exact de « suceuses », car c’est ainsi que nous appellent les services secrets, je ne le connais pas vraiment. Notre population diminue car nous ne pouvons pas nous reproduire. Mais peut-être qu’avec vous, qui avez le don…
    
    Balou apprit également que si une des amazones franchissait le seuil de non-retour avec l’homme qu’elle chérissait, celui-ci mourrait de plaisir, l’excès d’orgasmes se transformait en douleur atroce, le cœur lâchait ensuite. Il se rendit compte que le mot « chérir » dans la bouche de Céline, signifiait « faire l’amour » ou « faire jouir ».
    
    — Mais comment faites-vous pour vous cacher. Les hommes que vous « chérissez » se rappellent forcément de vous. Autrement, cela serait impossible.
    — Nous effaçons leur mémoire, du moins la partie qui nous concerne. Voilà, c’est simple. Mais nous savons que le « pouvoir parallèle » sait que nous existons.
    
    Céline murmura ces dernières paroles, comme si elle craignait que l’appartement de Balou soit infesté de micros cachés. Elle lui avoua également que les services secrets les pourchassaient pour tenter de capturer une ou plusieurs « suceuses » et ce dans le but d’analyser leur ADN et la composition de leur corps.
    
    — Nous avons toujours banni ...
    ... la violence, certes, mais nous possédons en nous une force bien supérieure aux qualités physiques des terriens. Et il est arrivé par le passé de nous défendre en toute dernière extrémité.
    
    Céline continua, émue :
    
    — L’amazone, si elle est capturée vivante, mettra fin d’elle-même à son existence. Elle fera tout pour retourner à la poussière d’où elle est née. Ma mère est morte ainsi.
    
    La discussion continua encore plusieurs heures. La nuit était maintenant complètement tombée. Balou n’osait pas allumer la lampe halogène, même faiblement. Il se leva et maladroitement se cogna à la table basse.
    
    — Vous pouvez allumer la lumière vous savez. Seuls les rayons de l’astre solaire nous sont nocifs.
    
    Il s’exécuta. Puis, tournant le dos à Céline, il alla à la cuisine se servir une bière, lui aussi avait soif…
    
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    Fabuleux, c’était extraordinaire. Il but le doux nectar avec délice, mais il avait encore soif. Céline pressait la tête de Balou entre ses cuisses. Elle offrait son orchidée à l’homme qui l’avait sauvée. Sa langue chaude la pénétrait divinement, ses lèvres suçotaient son bourgeon avec dextérité, ce qui la faisait frémir et gémir.
    
    Lorsque Balou était revenu de la cuisine une bière à la main, il avait faillit renverser son verre. Céline se tenait devant lui, nue, dans une pose lascive sans équivoque. Elle s’était rapprochée de lui, avait posé un doigt sur ses lèvres, lui intimant le silence. Lui, un peu gauche, avait posé sa canette sur la ...
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