J'en ai rêvé et je l'ai fait
Datte: 07/11/2019,
Catégories:
hh,
hhh,
couleurs,
inconnu,
grossexe,
forêt,
parking,
facial,
Oral
hdanus,
hsodo,
Partouze / Groupe
init,
confession,
inithh,
Gay
Auteur: Histochris, Source: Revebebe
... de la voiture et sans attendre, en bonne salope soumise, me pliai en deux pour m’offrir.
Je branlais les deux queues en même temps, puis j’en pris une en bouche. Le Noir me complimenta à sa façon :
— Tu es une bonne suceuse !
Une de ses grosses mains se posa sur ma hanche, puis je sentis son gland entre mes fesses. Sa main libre écarta ma fesse, et la queue se posa sur mon orifice heureusement bien préparé par ses partenaires. Il poussa un peu. Je me détendis pour accepter ce sexe. Le gland pénétra, et je ne pus retenir un gémissement.
Je repris une queue en bouche.
La pénétration continua. Je m’entendais gémir de plaisir. Il poussait sans discontinuer ; cela paraissait interminable. C’était délicieux. Sa seconde main vint sur ma taille. La queue poussait encore. Il entama de lents va-et-vient. Heureusement, il était doux, sinon il m’aurait ravagé.
Je sentais mon orifice bien dilaté ; je suçais alternativement les deux hommes. L’un d’eux avait posé sa main sur ma tête et me forçait à l’avaler jusqu’à la garde. Je bougeais mon corps pour que le Noir me fouille, me baise sans douleur mais bien à fond.
Soudain je devinai l’arrivée d’une autre personne. Je tournai la tête et vis mon initiateur de l’été. Il me sourit sans cesser de filmer avec sa micro-caméra. Cette découverte m’excita encore plus et je reculai brutalement pour recevoir ...
... toute la bite du Noir qui gémit à son tour. Sans doute surpris par la fougue dont je faisais preuve, il me traita de pute.
Il ne bougeait plus. C’est moi qui engloutissais son membre entre mes fesses. En même temps, je me régalais avec les deux queues qui baisaient ma bouche. Mon initiateur tournait autour de la grappe que nous formions sans cesser de filmer. Je vis quand même qu’il avait sorti sa bite et qu’il se branlait.
Il y eut un bruit de moteur, de crissements de pneus. Cela freina mon ardeur. Le Noir sortit de moi, laissant mon cul sans doute béant.
— À genoux, salope ! On va t’arroser.
J’obéis et ils m’entourèrent tous les quatre. L’objectif de la caméra toujours fixé sur moi, immortalisant la scène, il filma les quatre queues bandées, branlées avec vigueur vers ma bouche. J’attendais, docile, le plaisir liquide qui n’allait pas tarder à jaillir.
La première giclée atterrit sur ma joue, la seconde sur ma langue. Le Noir se branlait, et enfin il manifesta son plaisir : en grognant, il éjacula plusieurs jets abondants qui inondèrent mon visage et ma bouche. Mon maître se vida dans ma gorge.
Comme après une épreuve sportive, chacun se complimenta.
Satisfaits, les trois hommes s’éloignèrent, me laissant seul avec mon maître.
— Super film, dit-il. À la prochaine.
Il partit.
Encore nu, je me branlai et éjaculai sur le béton.